Routier, Sexshop, Cris & chuchotements sont 3 récits fictifs issu de l’imagination de Lili avant la séance réelle prochaine.
Routier
Maître est venu récupérer Lili soumise qui a reçu pour ordre d’être nue sous un impair. Mais je dois porter collier, entraves, ma queue de Renard ainsi que ma laisse.
Dans mon imagination, personne dehors pour que je puisse sortir ainsi et sentir l’air directement sur ma peau. Il m’appelle comme il appellerait un chien et jouerait avec mes tétons et une petite tape sur mes fesses. Pas de doute, je suis Cookie.
Il ouvre la portière et me fait monter. Ce n’est qu’en s’éloignant de mon quartier qu’il m’ordonne de bien écarter mon impair pour que ma nudité soit au grand jour. Par moment, il m’ordonne de jouer avec ma médaille ne faisant qu’accroître mon excitation déjà présente. Je ne me rends pas compte de suite qu’il me le demande alors qu’il est à la hauteur d’un camion qui me mate comme il faut.
Le camionneur fait des signes à Maître qui avance et descend ma vitre. En résumé, il lui demande si il peut me fourrer et si oui, on peut le suivre dans un coin tranquille. Maître accepte et ralentit de manière à se mettre derrière lui.
Nous faisons quelques kilomètres avant d’arriver dans une zone industrielle vide. Maître sort de la voiture et se dirige vers le routier qui en a fait de même. Ils discutent puis il revient m’ouvrir la portière avant de se saisir de ma laisse et de me délester de mon impair
Il m’emmène au routier et je comprends que je vais lui être offerte. Il se saisit de mes seins et s’extasie. Il ose même les prendre en bouche.
« Elle peut me sucer ?
– A genoux Cookie.
– Waouf. »
Je m’agenouille et cet inconnu ouvre son pantalon et m’enfile son sexe dans ma bouche ouverte. Je sens une caresse sur ma tête et Maître qui dit :
« Bonne chienne. Suce-le bien. »
Une fois que le routier est satisfait, tous deux m’aident à me relever. Mais ils m’emmènent à la voiture où je m’appuie sur le capot, jambes écartées prête à accueillir son sexe. Il soulève ma queue et après avoir enfilé un préservatif, il me pénètre.
D’autres routiers sont arrivés. Je saurais plus tard qu’il avait demandé l’autorisation à Mon Maître. Ils se branlent sous mes yeux. Et je comprends une chose, c’est que je vais aussi être à leur merci.
Ils s’approchent. Finalement, je me retrouve à l’intérieur du camion avec une queue dans ma chatte et une dans ma bouche. J’imagine même une double pénétration.
En résumé, je suis à la merci de ces messieurs.
Sexshop
Une fois les routiers finis, direction le sexshop dans la même tenue. Nous allons dans un grand sexshop et allons dans les rayons. Nous croisons un homme qui lorgne sur ma tenue. Sans le vouloir, ma main s’approche de mon impair pour le fermer.
Maître me tape sur la main et m’interdit de le fermer pour quelque raison que ce soit :
« D’ailleurs, tu as un défi de montrer tes seins quand je l’ordonne. Montre lui. »
J’ouvre en grand mon impair et me le fait faire à chaque fois que nous croisons du monde, enfin ceux qui peuvent être réceptifs.
Je donne tellement envie qu’un homme demande s’il peut avoir une fellation de ma part. Maître autorise et me voilà à genoux en train de sucer un Homme.
Ou alors j’imagine que c’est le vendeur qui fait cette demande. Je vais même jusqu’à imaginer qu’il y a une salle à dispo où je me retrouve en levrette en train d’être prise par un client ou le vendeur tenue en laisse avec Maître indiquant quelle bonne chienne je suis.
Cris & Chuchotements
Finalement, nous arrivons à Cris et chuchotements. Quand le proprio voit ma tenue, il s’extasie et demande même s’il peut me donner une fessée.
Une fois débarrassé de nos affaires, nous descendons et je me mets à quatre pattes. Ainsi, sont les ordres. Maître s’assied sur un fauteuil et moi, je m’assied en chienne à ses pieds. Nous avons fait sensation. Maître se relève et va chercher à boire. Un coca pour lui, une gamelle d’eau pour moi. Je dois laper devant tout le monde.
J’imagine une domina qui s’approche de Maître et le félicite de la jolie chienne qu’il a. Elle se permet de me caresser la tête. Finalement, il lui donne ma laisse et je dois lui obéir quelque soit les ordres. Elle m’attache sur la croix de Saint André et elle prend un martinet pour me fouetter.
Il lui précise que je ne suis pas maso et qu’elle doit y aller mollo.
Sinon, j’imagine Maître dans une salle là-haut avec ses nouvelles chaussures et il me demande de me branler dessus afin de les lustrer de ma mouille. Si cela n’est pas fait convenablement, je serais punie.
Autrement, j’imagine le propriétaire qui accepte que je sois vendu bien qu’il n’y ait pas de soirée de ce genre ce soir-là. Je me retrouve en haut sur le chevalet. Main et tête enfermées. Je ne peux pas bouger. L’homme qui m’a gagné m’encule et me pénètre tour à tour selon ses envies. Je sens la pression de ma laisse autour de mon cou quand je n’ai pas de caresse.
Mot de la fin
Voilà un petit résumé de ce à quoi je pense quand je dors avec mon collier et mes entraves et que Maître me frustre….