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Toute la journée, Maître m’a fait porter le rosebud. C’est à la fois une envie, mais aussi pour me punir des fautes que je commets dans mes récits. C’est la raison pour laquelle je vous ai informé que si vous releviez les erreurs, cela aurait des conséquences pour moi.

Le rosebud a eu quelques effets, mais pas tant que cela même si j’aurais aimé qu’un sexe finisse par m’assouvir. Le soir arrivant, je l’échange contre le gode noir que je dois bloquer avec une culotte afin qu’il ne bouge pas pendant mon sommeil. Je rajoute mon collier de chienne pour me sentir Cookie.

Je dois avouer que lorsque j’essaie d’insérer le gode, je suis sèche, mais cela ne dure guère longtemps vu que j’arrive à me l’insérer très rapidement.

Une fois en moi, je n’ai qu’une envie : m’accorder du plaisir. Mais les ordres de Maître Yannick sont clairs, pas de jouissance tant que je ne serais pas prête à m’avilir au plus haut point devant des spectateurs pour obtenir ma jouissance.

Je pourrais tricher et me l’accorder. Après tout, n’étant pas présent, Maître n’en saurait rien. Toutefois, ce serait le tromper et lui mentir. Or, mes valeurs sont l’honnêteté et la sincérité. Si je commence à ne pas obéir, cela peut aussi avoir des répercussions sur ma soumission.

Je décide quand même de me remuer pour avoir du plaisir, mais sans aller jusqu’à la jouissance. J’essaie de distraire mes pensées, mais rien à faire. Ce gode en moi me perturbe beaucoup trop.

Alors si je veux dormir, je n’ai qu’une solution, laisser aller mes pensées à l’humiliation pour enfin jouir et me permettre dormir.

Le premier scénario qui me vient, Maître se serait amusé avec moi tout en me frustrant afin qu’il me mette en mode chienne et en demande. Bien évidemment docile et obéissante. Je suis au milieu d’une pièce avec un spot de lumière sur moi, nue, avec ma laisse attachée. Des hommes seraient présents et ont le droit de me toucher, de me caresser, mais sans aller plus loin. En effet, c’est pour qu’ils puissent tester la marchandise avant qu’ils ne participent à ma vente.

Maître a décidé que des hommes pourraient acheter une fellation, une sodomie, une pénétration. Pour l’apothéose, trois hommes pourraient jouer simultanément avec moi.

Me vient une autre idée. Nous serions avec Maître dans la salle commune du Moon, il me ferait son fameux cunnilingus, mais me frustrant suffisamment pour que je réclame à me frotter contre mon genou. Mais lui a une autre idée. Il me fait mettre en levrette et insère ses doigts en moi. Il me glisse à l’oreille : « Mets-toi en mode chienne dès que tu peux, mais ton visage tourné vers les spectateurs pour qu’ils voient comment tu t’humilies pour avoir du plaisir. »

Je ferais exactement ce qu’il me dit, mais soit je fermerais les yeux soit je baisserais la tête incapable de les regarder. Même si je ne pourrais pas m’empêcher de jeter un œil de temps à autre.

Je me dis que mes pensées sont suffisamment avilissantes pour m’accorder du plaisir. Je me laisse donc aller à la jouissance.

Une fois soulagée, je peux enfin m’endormir. Chose que je fais. Seulement, dans la nuit, j’ignore ce qui me réveille, mais je me sens humide et avec à la fois envie de dormir et d’avoir du plaisir. Finalement, je me détends et je finis par m’endormir.

Quand, enfin, il fait jour, je peux retirer le gode. Incroyable, je coule littéralement. Ne m’y attendant pas, j’ai dû nettoyer le sol et mes jambes. La prochaine fois, je prendrais mes précautions.

J’avoue que l’avoir en moi me donne envie de jouir, mais Maître aime me frustrer. Je comprends que c’est pour révéler ces pensées et idées enfouies. Je ne dis pas que je souhaite les réaliser bien que ce soit excitant. Mais il faut dire qu’elles sont plutôt originales et inhabituelles.

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2 commentaire

  1. Deux magnifiques scénarios qu’on vous souhaiterait de vous voir réaliser.
    Mais ils n’ont pas vocation à être réalisés en fait.
    Ils ne font qu’alimenter votre imagination.
    De ce côté, il est évident que vous n’en manquez pas.
    Continuez comme ça Lili, vous en tirerez toujours une certaine satisfaction.

    1. Bonjour, vous vous trompez lourdement. Ces scénarios sont prévus dans leur réalisation. Je ne sais juste pas quand

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