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La partie 1 se trouve : Une sortie avec Monsieur (mon dominant) – Partie 1 sur 2)

Arrivés sur le parking, nous sortons de la voiture. il ouvre la portière et me dit :

« – A ta place salope. »

J’obéis et je comprends qu’il va me remettre le rosebud en place.

Il soulève ma jupe, me doigte, humidifie le rosebud et le met en place. Il ne peut s’empêcher de jouer avec ma chatte avant de déclarer :

« Nous n’avons pas le temps de jouer. Nous ferons cela tout à l’heure. »

Je comprends ce qu’il entend par là : aller dans le coin tranquille pour me mettre face au mur et couler dans un lieu public.

Il me prend par le cou et m’emmène dans notre restaurant favori. Une fois installés, nous entamons nos 3 sujets :
– Revenir sur l’épisode pipi (voir article précédent)
– Parler des futures pratiques qu’il envisage
– Twitter

Pour les 2 premiers, vous n’imaginez pas la gêne que j’ai ressenti quand nous abordons ces sujets. Ce qui l’étonne, c’est qu’effectivement, je n’ai aucune gêne de parler de bite ou de ce que je vois sur Twitter. Monsieur n’a pas tout à fait tort. Seulement, quand il s’agit de parler de mon humiliation, j’éprouve une gêne. Pour parler d’autres sujets sur la sexualité, j’en éprouve aucune.

Monsieur l’explique par le fait que je suis de nature profonde chienne et peut-être même une exhibitionniste qui s’ignore. Je ne me l’admettrais pas uniquement à cause de mon éducation.

Nous dînons tout en discutant comme à l’habitude. Quand nous avons fini, Monsieur paie et nous pouvons rejoindre la voiture toujours avec la main autour du cou. Seulement, Monsieur ne nous dirige pas vers la voiture mais vers le coin tranquille du parking.

Il m’ordonne de me mettre face au mur, jambes écartées. Comme à l’habitude, il pénètre ses doigts en moi. Il ne faut pas attendre longtemps avant que je ne coule. Il continue quelque peu en me disant qu’il est fier de sa chienne, de sa femelle.

Il me retourne. Il défait un peu mon chemisier, libère mes seins du soutien gorge et m’installe les pince-tétons.

 Comme il n’y a personne, je dois faire les quelques mètres jusqu’à la voiture ainsi.
Je sais que Monsieur Yannick serait content de lui. A force, je ne ressens pas de gêne mais parce que je sais que personne n’était dans les parages.

Il nous conduit jusqu’à chez moi. J’ai l’autorisation de mettre ma veste et de cacher ma tenue indécente. Les pince-tétons n’ayant pas tenue, il les retire.

Je dois dire qu’heureusement car pour récupérer mon sac à accessoires, j’ai croisé ma voisine de palier. Imaginez sa surprise et sa réaction si je n’avais pas mis ma veste.

Je redescends et rejoins la voiture. Monsieur ouvre ma veste et me dit :

« Je suis fier de toi. Tu n’as pas remis ton soutien gorge ni caché ton sein.

– Merci Monsieur. »

Nous voilà partis pour l’hôtel. Monsieur s’occupe de récupérer la chambre. Dans l’ascenseur, Monsieur se donne le droit d’ouvrir ma veste. Quand je m’aperçois qu’il y a un monsieur lorsque les portes s’ouvrent, je remets ma veste de manière à cacher mon indécence. nous sortons de l’ascenseur et rejoignons la chambre:

« Il avait un sourire le monsieur

– A-t-il vu mon sein?

– Oh oui. »

Une fois la porte ouverte, je vais dans le coin pour déposer mon téléphone et mon sac. j’enlève mes chaussures.

Monsieur Yannick pose simplement son sac et s’assied sur le lit :

« Allez, mets toi nue.

– Je dois me mettre nue ?

Je suis surprise, c’est la première fois et tellement inattendu. Je ne sais pas que faire. Le collier autour du cou répond pour moi.

– Oui. Allez !

J’enlève mes vêtements devant lui. Il remet en place les pince-tétons. Il se lève et me dit :

– Nous allons rejoindre ton texte, à quatre pattes. (cf ce texte)

C’est dans ces moments-là que je me dis mais pourquoi j’écris ce blog. Pourquoi j’écris ce que j’imagine ou bien mes fantasmes. J’obéis non sans hésitation.

– Embrasse mon pied.

Je le fais.

– Mieux que cela.

Je m’y applique. Il déplace son pied et mets son doigt dans mon intimité.

– J’adore. A chaque fois que je mets mon doigt, tu es humide.

Il m’aide à me relever et me poussa sur le lit de manière à ce que je sois allongée sur le dos. Il exige à ce que mes mains soient derrière ma tête.

Il relève mes jambes et caresse mes fesses avec mon paddle avant de me fesser avec. Je pense qu’il pourrait être plus violent avec. J’apprécie donc les fessées avec la mesure qu’il y met :

– Il est un peu trop doux je trouve. Mais je suis sûre que tu couleras comme une chienne si je te fais une séance rien qu’avec le paddle.

 Il le pose et s’empare du gode pour me pénétrer avec tout en ayant les mains derrière la tête (tels sont les ordres.)

Imaginez-vous la difficulté que cela représente que de ne pas pouvoir bouger quand le plaisir monte.

Au bout de quelques minutes, il retire le gode et c’est la première fois qu’il me pénètre avec son sexe. Clairement, je le préfère lui au gode mais je suis frustrée. Il ne fait que des petits va-et-vient alors que mon corps en réclame plus et il me dit :

« C’est comme cela que je prends possession de ma chienne. En ne te pénétrant pas complètement et en bougeant comme je le fais.

Il finit par se retirer et me pénètre de nouveau avec mon gode. Je prends un plaisir incommensurable. D’après Monsieur Yannick, c’est l’humiliation et la soumission qui augmente de manière exponentielle ma jouissance. j’ai découvert avec lui qu’en plus je n’ai pas encore été au maximum, je n’ai fait qu’effleurer la puissance maximale que je peux atteindre.

Il finit par s’allonger sur le lit et exige un 69. J’obéis sans problème jusqu’à ce qu’il décide de mordre le haut de mes cuisses. Je ne peux m’empêcher de crier :

« Au secours. A l’aide.

Allez savoir pourquoi ce sont ces mots qui me sont venus. Il s’arrête et me dit :

– J’ai cru entendre une réclamation.

– Pardon monsieur, je n’ai rien dit.

– Je préfère, tu as juste le droit de faire des suppliques.

Il continue de me mordre le haut des cuisses :

– Monsieur, s’il te plaît, peux-tu arrêter de me mordre. S’il te plaît, je t’en prie.

Il continue uniquement pour me montrer que je peux toujours supplier mais si tel est son désir, il a le droit de ne pas en tenir compte. Il reprend alors le cunnilingus tandis que je reprends en bouche son sexe.

Il faut savoir que quand je sens l’arrivée de la jouissance, je n’arrive plus à rien faire hormis le fait de me concentrer sur elle. J’arrête de le sucer.

– Qui t’a dit d’arrêter de me sucer ?

– Pardon Monsieur.

J’ai droit à une fessée. je reprends son sexe pendant qu’il reprend en bouche mon intimité. Il m’ordonne ensuite d’aller face au mur. Il exige que je me regarde dans la glace mais j’ai beaucoup de mal. Dans ma vie courante, je me regarde très peu. Alors imaginez lorsque je me fais humilier.

Je sais qu’il veut m’aider à améliorer l’estime et l’image que j’ai de moi et c’est probablement un chemin possible. C’est aussi la raison pour laquelle il l’exige mais n’insiste pas trop quand je détourne mon regard.

Il insère ses doigts en moi pour me faire couler. Une fois satisfait de sa chienne, nous nous allongeons et faisons une pause.

Mais Monsieur sait-il s’arrêter ? Non, bien sûr que non.

– Allez, tu vas faire ce dont tu as parlé.

Il va chercher le gode et me le tend tandis qu’il est debout à côté du lit. Il faut savoir que me toucher n’est pas une chose que je n’aime faire. Me goder est quelque chose que j’accepte parce qu’il arrive des moments où j’ai des envies et qu’il faut bien les satisfaire.

Vous n’imaginez pas à quel point il m’a été difficile non seulement d’envoyer une vidéo où je me gode à Monsieur et encore plus en public sur twitter.

C’est la première fois où j’ose demander :

– Quelle serait ma punition ?

– Tu ne pourrais pas t’asseoir pendant quelques jours.

Je prends le parti de le saisir et je commence. Il a très vite compris que je suis tellement gênée que je n’y prends pas un réel plaisir. Il le prend en main et se charge de le faire :

– Tes gémissements sont plus puissants quand je le fais. Je devrais filmer dans ces moments-là.

Je l’écoute à peine. Je me concentre sur le plaisir qui m’envahit peu à peu.

– Allez, allonge toi sur le dos, tête vers moi.

J’obéis sans hésitation. J’ouvre la bouche pour que son sexe puisse entrer sans aucune difficulté pendant qu’il continue à me goder. Quand j’entends mes gémissements, je ne les reconnais pas. J’ai l’impression de n’avoir jamais gémi comme cela. Il continue ainsi pendant quelques minutes. Il libère mon cul du rosebud et approche le gode de mon cul. Je le laisse faire. Il n’essaie pas de le faire entrer

– Tu as vu comment tu réagis quand je l’approche juste. Une véritable chienne. Suce mes couilles.

J’arrête de sucer son sexe et m’applique sur ses couilles tandis qu’il continue à jouer entre mes fesses et mon intimité.

– Allez, debout face au mur.

J’obéis sans hésiter. Il insère ses doigts en moi mais ne les bouge pas dans un premier temps.

– Regardez comment cette femelle bouge son cul. Allez supplie moi de te faire jouir.

– Monsieur, s’il te plaît fais-moi jouir. Dis-je timidement.

– Mieux que cela.

– Monsieur, je vous en prie, faites moi jouir.

C’est ainsi que pour la troisième fois de la soirée je coule sous ses doigts. Mais en a-t-il terminé ?
Non, bien sûr que non. Et je m’étonne moi-même de tenir autant la distance.

Il attrape mon gode, le ventouse sur sa jambes et me laisse me goder ainsi. Je remue comme je le peux pour que le plaisir monte. Il bouge sa jambe pour faire des va-et-vient.

Une fois que le plaisir est terminé, il me libère et faisons une deuxième pause. Croyez-vous qu’elle dure longtemps ? Non plus. Je pensais que nous allions partir et rentrer nous coucher chacun chez soi :

– Allez, une dernière pour la route.

Il descend à mon entrejambe et me fait un nouveau cunnilingus. Cette fois, je suis libre de mes mouvements. C’est tellement puissant que je plaque mes mains derrière ma tête au mur. Et là, il choisis de faire une novuelle chose : il me mord le pubi.

Et mince, il a compris que tout mon corps est sensible. Je suis foutue. Ne contrôlant pas mes réactions, je me débats mais fait en sorte d’essayer de rester dans la position attendue. Mes jambes se sont retrouvées autour de son cou :

– Qui t’a ordonné de bouger tes jambes?

– Pardon Monsieur.

Je remets mes jambes en place. Il continue quelques temps avant de remonter jusqu’à ma tête :

– Il ne faut pas faire cela Monsieur.

– Pourquoi ?

– C’est une torture pour moi. D’autant que j’ai compris quelque chose hier soir sur mon corps.

– Qu’as-tu compris ?

– je préfère ne pas le dire Monsieur.

– Oh si tu vas me le dire.

– Sinon ?

– Tu repars mais aura du mal à t’asseoir pendant quelques temps.

Je prends quelques secondes de réflexion.

– J’ai compris que tout mon corps était sensible quand je suis excitée.

– C’est normal, c’est physiologique. Je m’en doutais fortement pour le pubis.

Et comme pour vérifier mes dires, il me mord un peu partout avant de m’expliquer :

– En fait, ce ne sont pas les morsures qui te font de l’effet sauf celle au cou. C’est juste sentir les dents qui éraflent ta peau qui te fait réagir.

Et comme à mon habitude, mon côté rébellion s’exprime :

– Alors il faut plus le faire Monsieur

– Depuis quand as-tu ton mot à dire ?

– Mais Monsieur.

– Voilà. »

J’essaie quand même de me débattre et de trouver des excuses. Mais aucune n’est valable à ses yeux. Il me reprend dans ses bras avant de décider qu’il est temps de rentrer chez nous.

Il rassemble les jouets éparpillés dans la chambre et me les tend pour les ranger. Je demande l’autorisation d’enlever le collier. Il accepte.

Il me raccompagne chez moi et me fait un gros câlin avant de repartir.

Ami lecteur, il faut savoir qu’avec la rentrée arrivant, ma liberté de voir mon maître et Monsieur Yannick va s’amoindrir. Je sais une chose c’est que j’ai bien envie de les voir mais j’ignore encore quand.

Pour mon maître, se voir est plus facile même s’il va bien être difficile de faire coïncider nos agendas.

Pour Monsieur Yannick, il conviendrait qu’il accepte de me voir vers les 20H un soir de semaine où nous sommes tous les 2 disponibles.

Dans tous les cas, Je compte sur ta compréhension et ta patience en sachant que bien évidemment je raconterais toute séance qui se déroulera dans le futur.

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11 commentaire

  1. Quel plaisir de lire vos soirées. C'est un vrai régale. Monsieur est un adorateur de ton corps et de tes parties, il sait tout mettre en oeuvre pour te faire découvrir tes sensibilités et t'élever dans ton chemin de Soumise. Continue.♡♡♡♡

  2. Aucune envie de m'arrêter pour l'instant même si j'ignore la date de la prochaine séance

  3. Merci pour ces instants moments partagés. Un pur délice de vous vivre et de les mettre en images…hv,

  4. Ce commentaire a été supprimé par l\’auteur.

  5. Merci beaucoup 🙂

  6. Bonjour; très beau récit; de mieux en mieux au niveau de l’écriture, on « vit » la scène.
    Cordialement. Votre admirateur.

    1. Bonjour magnifique récit, bonne continuation

  7. […] Nous reprenons notre route jusqu’au parking où il a pris l’habitude de se garer. La suite, dans Une sortie avec Monsieur (mon dominant) – Partie 2 sur 2 […]

  8. […] La partie 1 se trouve : Une sortie avec Monsieur (mon dominant) – Partie 1 sur 2) […]

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