Le kit BDSM avait beaucoup plu à mon maître. Il a envie de l’utiliser et de m’enfoncer encore plus dans la soumission.
Voici les ordres que je reçois pour ce soir : » Je veux que tu sois totalement à moi. Tu vas m’attendre en guêpière, string, jarretelle, laisse autour du cou et bandeau. Tu devras m’avoir servi à boire. Tu devras être obéissante. Bien sûr les accessoires seront sur ta petite table. Tu ne bougeras que sur ordre. »
A l’heure dite, J’ouvre ma porte d’entrée, je l’attends dans mon salon conformément à ses ordres. Je l’entends qui s’approche et m’observe. Pendant ces secondes interminables, un millier de pensées me traversent l’esprit. Que va-t-il me faire ? Quelles sont ses idées ?
Et d’un coup, je pense à une chose : Je lui ai bien servi le verre demandé mais comme il fait chaud, je l’ai mis dans le frigo. J’ai juste oublié de le sortir peu de temps avant son arrivée.
Il tourne autour de moi. Il se balade dans mon salon. Je l’entends enfin parler : « C’est bien, elle ne bouge pas. »
D’un coup sans m’y attendre, les coups de fouet tombent sur mes fesses. Je fais mon possible pour ne pas bouger. Je suis sous ses ordres. Hors de question de faire quoique ce soit sans qu’il me le demande.
Et d’un coup, sur un ton autoritaire : « Où est mon verre ?
– Il est dans le frigo. J’ai oublié de le sortir.
– Tu as oublié de le sortir ? Tu vas voir ce que tu mérites. »
Il continue de me fouetter mes fesses. Les coups sont forts. Je l’entends se diriger vers ma cuisine. Je comprends qu’il va chercher le verre et vient le boire dans mon salon. Je suis toujours à 4 pattes, bandeau et laissée. Je n’ai pas bougé d’un pouce depuis son arrivée.
Ce soir, il va être patient. Il veut tester mes limites. Quand il est rassasié, il vient vers moi et tire d’un coup sur la laisse. Je m’apprête à me relever :
« – Tu es ma chienne. A quatre pattes. » me dit-il en me fouettant.
Je lui obéis. Il me fait me remettre à quatre pattes. Par la laisse, il me remet à genoux et me dit :
« Ouvre. »
J’ouvre la bouche et je sens alors son sexe dur qui pénètre ma bouche.
Il ne l’ a pas su pas de suite mais avoir attendu mon maître ainsi et me traiter comme sa chienne, j’étais dans une excitation telle que j’en ai peu ressenti jusqu’alors. Je mouille déjà. Rien que de le sucer, c’est juste exquis.
Cela ne l’empêche pas de me donner des consignes accompagnées du fouet.
D’un coup, il se retire. Je reste à genoux sans bouger. Je l’entends qui se sert de nouveau à boire. Seulement, quand il a fini, je n’entends plus un bruit.
Cela m’excite encore plus car j’ignore ce que serait la suite : une autre fellation, une levrette, une sodomie…
Quand il juge que le temps est venu, il vient alors derrière moi et s’assied presque sur moi pour me pénétrer. Il joue avec la laisse me faisant lever ou pencher la tête selon son désir. Nous commençons tous deux à gémir mais à cause d’un problème technique, nous devons nous arrêter.
Il m’ordonne alors de me libérer afin de trouver une solution. Seulement à son regard, je sens sa frustration de ne pouvoir me traiter comme il l’aurait aimé car impossible de continuer nos jeux pour le moment.
Une solution temporaire est trouvée, il m’embrasse alors avec sa fougue habituelle. Celle qui me rend folle de désir ou l’accentue car il faut avouer que je le suis déjà.
Il s’assied sur une chaise tandis que je suis debout face à lui. Je le laisse m’embrasser partout, laisser ses mains caresser mes seins avant qu’il ne me retourne pour jouer également avec ma chatte.
Je le laisse me faire devenir son jouet, lui laisser mon corps pour son plus grand plaisir. le laisser me pénétrer avec ses doigts pour exprimer ma jouissance. il adore stopper à certains moment m’obligeant à émettre une plainte avant de reprendre de plus belle me faisant crier encore plus fort.
Sans que je m’y attende, il me pousse à terre me retrouvant allonger sur le dos à terre. Je le laisse venir à moi. Il lève mes jambes pour m’embrasser, mordre mes tétons tandis que ses doigts me pénètrent à nouveau pour mon plus grand plaisir.
Il finit par descendre et pensant qu’il allait me faire un cunilingus, il se met à mordre le haut de ma cuisse. Je sursaute en émettant un cri à la fois de surprise et de jouissance. Je déteste quand il le fait car oui il y a du plaisir mais j’ai la sensation que je ne le supporterais pas.
Comme il a bien envie de recommencer, il se positionne sur moi de manière à me rendre immobile à chaque petite morsure subie sur ma jambe.
Bien évidemment, il ne va pas se contenter de si peu, il s’en prend alors à ma seconde cuisse me laissant aller jusqu’à l’orgasme.
Ce n’est qu’à ce moment précis qu’il me libère en se relevant. Mais impossible de moi de bouger. J’ai besoin de reprendre mes esprits.
Je le laisse se rhabiller avant d’enfin pouvoir me relever à mon tour. Je le rhabille nue jusqu’à la porte. Même s’il se satisfait de m’avoir donné autant de plaisir, il a été frustré du sien. Mais ce n’est que partie remise.
Blog de Lili Soumise
Blog de Lili Soumise – Une soumise BDSM raconte sa soumission
Ton maitre aime vraiment les mêmes choses que moi il a énormément de chance d'avoir trouvé une chienne comme toi
Bonjour. Je n'ai pas bien compris ce que c'était ce petit problème technique ?!..
Lors de la sodomie, il s'est blessé au niveau du sexe. Rien de méchant mais c'est une blessure qui a dû demander une guérison de quelques jours.
Dommage pour Monsieur.Toujours un plaisir d'imaginer la scene elle est si bien contée.
Merci