Récit Fictif – Cookie rencontre un chien lors d’une promenade

Médaille de Cookie

Ce récit est purement fictif et est issu de mon imagination, en le lisant vous comprendez pourquoi il est presque improbable que ce récit puisse se réaliser un jour

Pour cette fin d’après-midi, les ordres sont simples : ma robe à bouton, un jouet télécommandé, le collier dans mon sac.

Dès qu’il me bippe, je mets mes chaussures, prends mon sac et descend. Comme à l’habitude, il m’embrasse avant de me prendre dans ses bras. Il tend la main et lui donne la télécommande du jouet qu’il essaie de suite.

J’ignore le programme car il est tôt pour aller manger mais en même temps, nous sortons, serait-ce la fameuse promenade tant désirée ?

Je l’ignore. Il ouvre la portière tandis que le jouet vibre en moi. je relève la robe pour que mes fesses touchent la serviette posée sur mmon siège.

Maître s’asseoit sur le siège conducteur et m’informe :

« 1 waouf pour oui, 2 waouf pour non, 3 waouf pour autre chose, compris Cookie ?

– Waouf.

– Autre ordre, pour ce soir, tu dois parler suffisemment fort et t’exprimer où que l’on aille.

– Waouf.

– C’est bien ma chienne me dit-il en me caressant la tête. Donc tu exprimes tes gémissements. »

Je me laisse donc aller au plaisir qui se réveille au fond de mon être tout en discutant avec Maître. Mais ce plaisir est indescriptible et par moment frustrant vu qu’il ne cesse d’éteindre et d’allumer le jouet. J’ignore où nous allons mais il n’a pas mis le GPS, il sait donc où il va.

Il ne faut guère de temps pour y aller et se garer :

 » Cookie, tu veux garder ton sac.

Il faut dire que nous sommes dans un lieu public et des gens ne sont pas très loin. D’habitude j’abois timidement presque dans un murmure mais je me souviens des ordres :

– Waouf Waouf.

– Donne-moi ton collier. »

Je sors le collier de mon sac et lui donne. Il sort de son son côté, prend son sac et met le collier dedans. J’attends patiemment qu’il m’ouvre la portière (leçon apprise après une punition). J’ai reconnu le lieu : des pubs, des restaurants et une base de loisirs non loin.

Je sais que ce n’est pas le lieu favori de Maître mais après tout, c’est lui qui décide. Il finit par m’ouvrir la portière et je sors enfin de la voiture.

Il ferme ma portière, me prend par le cou et s’amuse de ma réaction quand il rallume le jouet. Mon bas ventre est en feu de ne pas pouvoir aller jusqu’à la jouissance. il s’en doute rien qu’à me regarder. Nous nous arrêtons à un bar .

« Il fait chaud, il faut se rafraîchir. »

Je comprends, nous allons boire un verre. Maître m’indique sa commande et m’ordonne de parler au serveur. Bien évidemment, il le fait en laissant le jouet allumé. Dur pour moi de ne pas me concentrer. Je me dis que cela se voit que j’ai un jouet vibrant et que je ne désire qu’une chose : jouir.

Est-ce que le serveur le vit ? Je l’ignore. Il revient avec notre commande et discutons des choses et d’autres. J’essaie de savoir ce qui m’attend car nous sommes sortis des habitudes et j’avoue que j’appréhende. Je me doute que le bar n’est qu’une étape dans le programme.

Nous prenons notre temps pour boire et même une fois nos verres finis, nous restons ici. Pourquoi ? Je l’ignore. Maître regarde son téléphone et me dit : « Allons-y. »

Il va payer et nous prenons la direction de la base de loisir. Vu le temps et la saison, il y a du monde mais nous avançons vers les arbres et plus nous marchons, moins nou voyons du monde. Maître s’arrête :

 » Une chienne doit être promenée nue et en laisse. Alors enlève ta robe. »

J’obéis et lui tend pour qu’il la mette dans le sac. Il sort alors mon collier et une laisse. Je vous rappelle que mon collier contient ma médaille : Cookie. Je le laisse me mettre.

 » Cookie est contente ?

– Waouf.

– Je vais vérifier. »

Il tâte mon humidité et voyant que je suis loin d’être sèche, il enlève le jouet et me promène ainsi. J’ignore combien de temps. Je sens le vent sur moi et c’est loin d’être désagrable.

Maître s’arrête et m’ordonne :

« A quatre pattes près de cet arbre.

J’obéis. Il s’éloigne de quelques pas et prépare son téléphone :

– Soulage-toi Cookie.

– Waouf

J’ai aboyé sans même avoir assimilé l’ordre. Me soulager ? Je mets quelques secondes avant de comprendre. J’écarte les jambes et me prépare. Ce n’est pas si simple. Il faudra quelques secondes avant que l’urine ne se mette à couler.

Quand j’ai fini, je ne bouge pas. Maître range le téléphone, me caresse la tête :

– Bonne chienne. Tu mérites une récompense. Ouvre la bouche.

Il me mets un chocolat que je mange tandis qu’il m’essuie les fesses.

– Avance à quatre pattes vers ce tronc.

Ce n’est pas évident avec les brindilles. J’avance prudemment pour éviter de m’écorcher les genoux et les mains.

Maître s’y asseoit :

– Cookie assis.

Je pose mes genoux à terre, pose mes mains devant et le regarde. Quelle va être la suite?

J’entends des bruits de pas derrière moi. Je n’ose pas me retourner. Une voix féminine s’approche de nous et dit :

– Bonjour

– Bonjour Madame. Vous aussi, vous promenez votre chien ?

Je ne peux pas m’empêcher de me retourner. Une femme habillée dans une tenue légère et sexy tient un homme nu en laisse.

– Oui Monsieur. Pouvons-nous nous joindre à vous ?

– Bien sûr.

Elle s’assied à côté de Maître et fait asseoir son chien à côté de moi qui prend la même position.

Maître et elle commencent à parler comme si de rien n’était et je comprends à leur conversation que la rencontre n’a rien de fortuite. Elle présente Médor, son chien à Maître et il me présente à elle.

Elle me caresse la tête en disant :

– Elle est mignonne cette chienne. Qu’en penses-tu Médor ?

– Waouf.

– Tu as le droit de la renifler si tu veux.

Il entreprend alors de me tourner autour en me reniflant tel un chien. Il est très proche de moi. Quand il a fini, il reprend sa place.

– Veux-tu jouer avec Cookie ?

– Waouf.

Maître prend la parole :

– Cookie, veux-tu jouer avec Médor ?

Je réfléchis et il me faut quelques secondes avant de comprendre ce qu’il entend par jouer. Comme s’il lisait dans mes pensées :

– Cookie, nous voudrions que vous vous accoupliez. Es-tu d’accord ?

Je réfléchis et finis par répondre :

– Waouf

– Alors en levrette. »

Je me mets à quatre pattes, le tronc étant à ma gauche. Médor vient se mettre derrière moi et vient mettre sa langue dans mon intimité.

Je réalise que je suis nue, tenue en laisse en pleine forêt par Maître tandis qu’un homme dans le même statut entame un cunnilingus. Et ce, devant mon Maître et une femme inconnue qui sont habillés. Comme si je pouvais oublier, Maître tire de temps en temps sur ma laisse non pas pour une pression quelconque mais pour me rappeler ma place.

Je commence à gémir mais tout bas. Je n’avais pas vu mais Maître sort la cravache du sac et me tape les fesses :

« Qu’ai-je dit à propos des gémissements ? »

Alors j’essaie de gémir plus fort et j’avoue qu’il n’est pas si compliqué de le faire. Maître et Maîtresse si je peux le dire parlent et commentent. J’avoue que c’est assez troublant.

 Médor s’éloigne et aboie 3 fois.

Au début, je ne comprends pas mais n’ayant reçu aucun ordre, je ne bouge pas. J’entends des bruits de plastique et je comprends lorsque ce chien me pénètre : il a mis un préservatif.

Une jouissance arrive, elle va être forte et puissante quand Maître me dit :

« Tu dois attendre mon ordre pour jouir. »

Oh la la. La dernière fois qu’il me l’a demandé remonte à loin. J’avais retenu ma respiration et j’avais bien eu du mal à obéir. Afin que je comprenne, cet ordre est accompagné de 3 coups de cravache.

Je retiens ma respiration. J’entends Médor qui aboie par 3 fois :

« Cookie, tu peux jouir »

Je hurle mon gémissement celui qui met l’apothéose à cette séance. Je comprendrais plus tard que Maître a voulu que je jouisse en même temps que Médor.

Ce dernier se retire doucement. Sa Maîtresse lui caresse la tête et lui dit :

«  Bon chien. Merci à vous. Quand vous voulez pour nous revoir.

– Avec plaisir. 

Il s’éloigne tandis que je reste en levrette attendant les ordres et reprenant ma respiration et mes idées.

– Cookie assis.

Je m’assieds comme tout à l’heure en face de lui.

– Bonne chienne. Ouvre la bouche.

J’ai droit de nouveau à un chocolat.

– Mets-toi debout et cambre-toi à cet arbre.

Je vais à l’arbre indiqué.

– Ecarte les cuisses et n’oublie pas de t’exprimer. »

Il tâte mon intimité et se rend compte que je suis trempée. Ce qui ne l’empêchera pas de me faire couler deux fois. Bien évidemment, j’ai laissé exprimer mon plaisir pour éviter la punition.

Maître est content. Il m’éloigne de l’arbre. Mais il m’ordonne d’avancer nue en laisse tandis que nous débriefons de la situation. Quand nous commençons à revoir la société, j’ai droit de remettre ma robe mais me laisse tenue en laisse. Je le serais jusqu’au retour à chez moi.

C’est là que je réaliserais tout ce qui s’est passé. Combien j’ai pu être humiliée et être traité littéralement comme une chienne en chaleur.

Je comprends la boisson pour que je pisse comme un animal devant Maître. Je comprends le jouet sans pouvoir jouir : être en chaleur. Et je comprends pourquoi il ne m’a rien dit : pour que je n’appréhende pas et vive le moment intensément comme je l’ai vécu. Enfin c’est ce que j’imagine vu que ce récit est fictif.

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4 commentaire

  1. Très beau récit Lili, devrais-je dire Cookie ?
    Non, Cookie c’est la petite chienne de Yannick et je suppose que lui seul a ce privilège de la nommer ainsi !
    Mais je me pose cette question, pourquoi votre imagination vous inspire ce genre de récit si ce n’est pas une envie, même inconsciente, de vivre une telle aventure ?
    Je crois que vous aimeriez, mais que ce n’est tout simplement pas réalisable
    Alors vous laissez libre court à vos fantasmes.
    Ça vous titille l’imagination et vous nous gâtez en partageant vos envies comme vos récits, tout fictifs qu’ils soient.

    1. Bonjour,
      Seul maître peut m’appeler ainsi.
      Pourquoi l’imagination crée des chansons, des peintures, des émissions et que sais-je d’autre ?
      Pour vivre une telle expérience, cela demande un nombre important de conditions à réunir.
      J’avais juste besoin d’écrire pour penser à autre chose et libérer mon esprit.

      1. L’imagination crée des chansons, des peintures, des émissions, mais la plupart du temps elle débouche sur une réalisation.
        Je sais bien quelles sont vos contraintes alors aucun souci si ça reste à ce stade.
        Vous vous faites plaisir et c’est ça le plus important Lili.

  2. Bonjour, magnifique récit et c’est toujours avec beaucoup de plaisir que je suis vos aventures. À bientôt

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