Récit fictif
Nous avons gagné le séjour de 10 jours à Madrid dans une chambre d’hôtel aménagée en donjon.
Maître a prévu que nous partions demain pendant les vacances de printemps. Nous espérons ainsi avoir le beau temps, mais peu de monde.
Mais surtout, demain, quand nous y serons, ce sera … Comment on dit déjà ? Ah oui ! Demain est un nouveau jour.
Sauf que pour nous qui ne vivons pas ensemble et voulons tester si je peux être soumise H24, ce sera notre nouvelle vie pour les 15 jours à venir et pourquoi pas pour plus longtemps.
Maître a même acheté un collier qui se cadenasse. Un discret bien sûr, mais avec lequel je pourrais me doucher et me baigner dans la mer.
D’ailleurs Maître a prévu tout le programme. Un jour, nous sortons visiter le matin, le midi on mange. L’après midi sieste ou séance BDSM. Puis nous ressortons tranquillement jusqu’au dîner et une soirée BDSM.
Les autres jours, juste plage, bronzage, détente accompagnée d’ordres et de BDSM bien évidemment.
Il est même prévu d’aller dans un sauna libertin, endroit ou mon collier pourra être retiré.
Et je dois dire que la chambre donne beaucoup d’idées à mon Maître. Entre une croix de Saint-André, un lit avec des attaches sous lequel d’ailleurs il y a une cage pour les chiennes, une autre au milieu de la pièce ou la chienne ne peut être qu’à quatre pattes.
Des attaches de part et d’autres au mur et au plafond. Des accessoires fournis : différents fouets, différentes cravaches, différentes entraves…
Et même des cordes.
Les seules choses qui ne sont pas fournies : les accessoires purement sexuels comme les godes, les plugs anaux. Mais cela n’est pas un problème.
Maître m’a d’ailleurs envoyé la liste de ce que doit contenir ma valise : les différents jouets qu’il affectionne, des robes, aucune lingerie si ce n’est une chemise de nuit sexy qu’il adore. Ah si, il accepte une guêpière, mais par n’importe laquelle. Celle semi-transparente.
D’ailleurs, il a même choisi mes robes : des robes très décolletées et sexy à part une qui est littéralement transparente.
Ma trousse de toilettes. Il a même demandé ma gamelle d’eau. Car il l’a clairement dît : je serais sa chienne durant les 15 prochains jours. Il a même prévu des récompenses si je me comporte bien et des punitions dans le cas contraire.
D’ailleurs, il a été très clair, si nous sommes dans un lieu public non averti et que nous sommes assis sur une banquette, je dois clairement faire en sorte d’être plus petite que lui pour rappeler ma condition : je suis sa chienne.
Si nous sommes sur des chaises, rien ne doit être montré.
Par contre, dans des endroits privés ou lieux le permettant, je devrais toujours m’asseoir plus bas que lui.
De même, s’il dit le mot : « Ma chienne », je dois baisser les yeux jusqu’à ce qu’il dise un contre ordre.
J’ai trop hâte de vivre ces moments avec lui. J’ai envie qu’il me rappelle sans cesse ma place, j’ai envie d’être sous ses ordres constamment. J’ai envie qu’il s’occupe de moi comme je le mérite.
Je ne me sens vivante qu’en sa présence.
Alors vivement, demain. Qui sera clairement un nouveau jour.
