En ce vendredi soir, Maître sait que je suis enrhumée et très fatiguée. Mais que j’ai aussi besoin de réconfort et mine de rien, cela fait un moment que l’on en s’est pas vu.
Il vient et a décidé que ce serait en mode, on s’allonge et on se fait des câlins.
Même si je n’ai pas la grande forme, j’ai envie de plus. Pas d’ordre sur la tenue.
Je décide donc d’accueillir Maître dans une petite nuisette avec mon collier.
Quand il arrive, il est surpris. Il s’attendait à une tenue plus chaude et moins tentatrice. Toutefois, je l’ai attendu sous une grande couverture. Il m’embrasse, me fait des câlins et m’ordonne de filer très vite au lit.
Je pense qu’au vu de ma tenue, cela le tente de se mettre nu et de se coller à moi. Nous discutons tandis que son sexe est entre mes fesses et que ses doigts jouent avec mes tétons, me caressent, mais sans me provoquer la moindre jouissance. C’est de la tendresse.
Bien évidemment, je joue avec les mots et ce qui doit arriver arrive. Il me pénètre avec ses doigts tandis qu’il mord mes tétons.
Par moment, il s’arrête, et ce, afin que ce soit moi qui me remue pour obtenir mon plaisir. Ce qui est en soit dégradant.
J’aii une idée qui vient et qui me tente. Mais oserai-je non seulement de lui dire. Et si je la lui dit, serais-je capable de le faire ?
Je finis par lui dire :
« J’aimerais me branler avec le gode tandis que tu mords mes seins. »
Maître trouve que c’est une bonne idée, mais comme à l’habitude se tâte de savoir si c’est le bon moment. Il m’ordonne de le sortir. Je joue donc avec tandis que Maître joue avec mes seins. Il se permet même d’insérer des doigts dans mon anus.
Je prends mon plaisir et ne réfléchis pas. C’est mon côté animal qui ressort. Mais voilà, j’ai envie de changer de position. Celle que j’adore avec le Wand. Mais encore une fois oserai-je.
Finalement, je me libère de Maître, je prends un coussin, pose le Wand dessus et me frotte dessus tandis que Maître continue de dévorer mes seins.
Il exprime même un « Oh oui ». je suppose que cette audace lui plaît.
Je laisse le Wand m’emmener à l’ultime jouissance laissant Maître savourer le spectacle que je lui offre.
C’est un véritable plaisir et j’en avais besoin. Toutefois, je réalise ce que je viens de faire et une sorte de honte s’empare de moi. Je me suis branlée, certes avec un jouet, devant Maître et c’est même moi qui a demandé.
Comme à son habitude, il me dit que je ne devrais pas avoir honte bien au contraire, j’ai laissé ce côté bestial me contrôler et c’est tout ce qu’il demande. Il n’y a rien de mal. Bien au contraire vu le plaisir pris.
Je range le Wand et demande la libération du collier et finalement je m’allonge contre Maître. Il s’endort. En soit ce n’est pas un problème, mais il m’a prévenu qu’il ne pourrait pas passer la nuit. Je lui en fais part, mais a envie d’en profiter. D’ailleurs, il glisse une main en moi avant de s’endormir un petit peu. J’avoue que cela a une part humiliante, mais j’adore. Ce n’est pas la première fois et j’avoue que je commence à m’y habituer.
Maître finit par se réveiller et décide de partir. J’ai pour ordre de ne pas quitter mon lit. Je finis par m’endormir. Mais j’avoue que quand je réveille le matin, je me demande si ce n’était pas un doux rêve…
