avant premiere

Ce jour-là, je n’ai guère voulu embêter Maître. L’heure approchant, je sais juste que je devais sortir les entraves, le collier, le rosebud queue animal, le gode noir et le Wand ainsi que mon coussin.

Est-ce que j’ai le droit de relancer Maître ? Je l’ignore. D’un côté je risque une punition. De l’autre, il conviendrait de me préparer. Mais quelle tenue ? Quels accessoires ?

Je me dis que pour un seul texto cela irait. La réponse arrive rapidement :

« Nous sortons ce soir. Je te laisse choisir la tenue sans sous vêtements bien sûr. le collier dans ton sac. »

Je choisis donc la fameuse robe rouge qui a eu beaucoup de succès sur twitter.

J’ai voulu ajouté un jouet connecté. J’en ai un mais malheureusement ne fonctionne plus. Décidément, entre l’œuf et le connecté, pas de chance. Quand j’aurais les moyens, je me réapprovisionnerais. En attendant, il faut faire sans.

Je suis donc déçue que Maître ne pourra pas jouer avec moi durant le restaurant mais aussi très contente de le voir.

Quand l’heure approche, je suis impatiente. Mais quand l’heure est passée, je me pose mille questions tout en sachant que je dois me tenir prête pour descendre rapidement afin de ne pas le faire attendre.

C’est un moyen pour lui de me rappeler ma place et qu’une soumise est à la disposition de son Maître.

Enfin, il m’envoie le texte que j’attends tant : il est en bas. J’éteins m’a télévision, docile mes chaussures, prend mon sac et descend.

Quand je le vois, je le vois, je ne peux que sourire. Heureuse de le voir, heureuse du plaisir et de l’endorphine que je vais ressentir.

Nous nous embrassons, il me prend dans ses bras et le voilà qui ouvre la portière.

Nous voilà parti pour mon restaurant favori.

Nous discutons de choses et d’autres comme du fait qu’il aime beaucoup ma robe. Celle que je ne mets que chez moi ou en vacances. Tout simplement parce que je la trouve trop décolleté. Pour me prouver que j’ai tort, il demandera l’avis aux Twitter.

Une fois garés, je suis surprise. Je pensais qu’il allait me faire jouir sur la banquette arrière mais non. Le mur, je savais que non, au vu de la luminosité. Une petite pointe de déception se fait sentir au fond de moi. Mais je sais que Maitre a ses raisons et que d’autres humiliations m’attendent.

L’une d’elle étant de me prendre par le cou Côme une laisse naturelle. Même si cela semble anormal, j’y ai pris goût et me laisse faire. Mon entrejambe en tour cas n’est pas indifférent.

Quand nous rentrons dans le restaurant, je remarque un couple dans l’entrée et un homme plus loin que je ne laisse pas indifférent visiblement. Toutefois, Maître m’indique que l’homme du couple m’a reluquer. Ce qui lui permet de me dire que bien que je ne m’en aperçois pas, au Moon, je semble attirer les regards aussi bien des femmes que des hommes.

J’en suis étonnée et lui demande pourquoi il ne me le dit pas à ce moment-là. Tout simplement parce que pour lui, c’est à moi faire attention et de porter mon attention et qu’il veut que cela se fasse naturellement.

On dirait un dialogue de sourd mais bon, comment vivre une nouvelle aventure avec une femme si je ne vois pas celles que j’attire… Il semblerait que parce que je me dévalue ou refusant de voir, c’est la raison qui expliquerait que je rate des opportunités. Je tombe des nues car je me rends compte que des situations fantasmées, je pourrais en vivre si j’étais plus observatrice de mon environnement au lieu d’être concentrée uniquement sur Maître.

La question qui se pose, c’est comment.? Je n’en ai aucune idée mais je sais que Maître sans m’en rendre compte me fait travailler dessus.

la discussion continue en même temps que le repas. Je n’ai qu’une seule interdiction : ne pas aller aux toilettes.

Je me doute de la raison. C’est pour ce soir ! Cette fameuse promenade que j’attends et pisser devant mon Maître en tant que Cookie. J’appréhende quelque peu mais l’envie est tellement là que je verrais bien sur le moment. J’avoue que l’idée m’excite et me demande si je vais y arriver. Une voix dans ma tête me dit que j’en ai tellement envie et fantasmé que je n’aurais aucun blocage bien au contraire, trop envie de rendre fier mon Maître, de lui montrer jusqu’où je suis prête à m’humilier pour lui. Mais également très excitée à le faire. Tour se bouscule.

Apres avoir payé la note, nous quittons le restaurant. Sur le chemin du retour, Maître ne se gêne pas pour me donner des fessées et soulever ma robe pour y glisser un doigt. Je suis un peu gênée car il fait jour et se trouve pas mal de monde dans la rue.

Mais s’il le fait, c’est qu’il ne peut rien arriver et c’est tellement excitant d’être à sa merci. Je m’amuse de ce jeu et apprécié de subir ses quatre volontés. C’est le genre de jeu qui pimente le quotidien et qui me fait cruellement défaut la majorité du temps.

Quand il ne joue pas avec mon corps, nous avançons et arrivons à la voiture, Maître me colle à sa voiture et joue avec mon intimité. il me force à regarder mon reflet mais j’ai beaucoup de mal à lui obéir, j’essaie d’y échapper.

Même si j’y arrive, me regarder dans un miroir en temps normal est compliquée. Alors quand je suis en train de me faire humilier par Maître, un sentiment de honte monte et diminue mon plaisir.

Je sais que je ne devrais pas car je lui suis soumise, j’apprécie d’être sienne et je l’accepte de plus en plus. Mais il faut croire que mon éducation joue encore contre mon statut. Je sais aussi qu’il m’aide sur ce point par des petits jeux par-ci par-la.

Le jour où j’accepterais complètement mon statut et mon image, j’arrêterais de louper des opportunités non pas parce que je ne les vois pas mais parce que j’aurais choisi de les éviter.

En attendant, je suis collée à la voiture en train de me faire humiliée tout en prenant du plaisir exprimé par des gémissements.

Mais hors de question de jouir. Il s’arrête et m’ouvre la portière. Je lui fais remarquer pour le mur et la banquette arrière, il m’explique que c’est à cause du jour, du monde mais surtout des enfants aux alentours.

Maître s’insgalle au volant pour la direction connue. Toutefois, dur le chemin, Maître a une intuition. Celle que ce n’est pas une bonne idée que de se promener en forêt. Il connaît mon point de vue sur cet aspect. C’est donc direction mon domicile.

J’avoue que je suis déçue. J’étais tellement excitee rien qu’à l’idée et le fait que cela allait enfin se réaliser. Car mine de rien, cela fait quelques mois que nous en parlons sans jamais avoir l’opportunité. Mais bon, si il a eu cette intuition, c’est qu’il y a unreaison. Ce n’est que partie remise. D’autant que cela va permettre d’autres jeux.

A peine rentrés chez moi. Maître me fait mettre à genoux pour enlever ses chaussures, chaussettes et embrasser chacun de ses pieds avant de pouvoir me relever.

J’obeis sans réfléchir. Pour avoir déjà reçu cet ordre plusieurs fois, cela me paraît presque naturel d’être ainsi, humiliée à lui enlever chaussures et chaussettes. D’autant que baiser ses pieds ne fait qu’n rajouter.

J’ai le droit de me relever avant qu’il m’ordonne de mettre mon collier.

vous dire ce que je ressens à ce moment est compliqué. Je ne lui ai pas demandé mais pour en avoir discuté avec lui, lui voit de la fierté dans mon regard.

Peu importe, nous nous installons sur le canapé dans ses bras. j’adore cette tendresse, ce moment où enfin je peux me reposer sur quelqu’un aussi bien physiquement que moralement. Ils sont si rares que j’en profite quand ils se présentent. C’est un moment où je me dis je ne suis pas seule, je peux partager mes difficultés, mes moments de bonheur avec une personne. C’est le.moment aussi où je peux demander conseil. Un moment où nous sommes deux à gérer ma vie. Et je peux vous assurer que cela enlevé un certain poids. Même si je sais que ce moment n’est que fugace et n’est qu’une pause dans ma vie.

Cela n’empêche en rien le fait que je me retrouve nue tandis que lui est habillé. Une situation humiliante qui m’excite et me rappelle si cela était nécessaire que je lui appartiens et dois lui obéir et subir toutes ses envies.

Maître ne tarde pas à me caresser. Son jeu du moment, c’est de me faire monter dans le plaisir et s’arrêter instantanément.

J’ai horreur de ce jeu car j’ai envie de jouir. J’ai envie de me laisser aller à ses délices et d’être frustrée, ce n’est pas drôle. Alors j’alterne entre complainte, rire ou réflexion. Pas la peine d’expliquer à Maître, il sait.

Je me retrouve semi allongée, il est sur moi et en profite pour balader ses dents sur mon corps. Je vais essayer de vous expliquer avec des mots. C’est comme si une tornade de plaisir intense et puissant m’envahissait d’un seul coup sans que j’y sois préparée. C’est même insoutenable tellement c’est puissant. Même si je dois lâcher prise et subir, c’est loin d’être facile surtout quand il fait ce genre de choses.

Il en profite pour faire des anulingus, me donner des fessées, des tapes sur ma chatte ou me pénétrer avec ses doigts.

toutes ces choses que j’adore et me fait grimper dans mon excitation. Même si mon réflexe est de serrer les jambes quand il tape mon clito. Mais le plus insupportable est de ne pouvoir jouir. J’i du mal à tenir, je le veux, je le désire.

Enfin, il me laisse y aller. Enfin cette joussance tant attendue. Il m’ à tellement habituée à plusieurs que j’en ai encore envie. Mais non, c’est direction mon coussin de chienne, tête posée sur sa jambe avec mon entrejambe en feu qui réclame son du.

Et pourtant, être ainsi à ma place, aux pieds de mon Maître, être rabaissée et humiliée me convient. Je suis à l’aise. Comme si cela était.naturel, dans l’ordre des choses. Et je dois dire que j’ai hâte que cela se reproduise lors des prochaines séances.

ne sachant quand, je me détends et profite de ses caresses sur ma tête me prouvant que je ne suis plus soumise mais sa chienne à lui.

J’ignore combien de temps nous sommes restés ainsi sans un mot, juste à nous reposer, profiter du moment avant que Maître décide d’aller dans ma chambre.

Il me fait mettre à quatre pattes sur le lit, m’enfourne mon rosebud queue animal dans mon anus avant de commencer les festivités. Je peux vous dire qu’à ce moment, je me sens Cookie.

C’est important ca cela a un effet psychologique. Cela me permet de déculpabiliser pour certains plaisirs et certaines pratiques. De me comporter comme un animal et non comme femme. Faire ressortir mon côté bestial.

C’est ainsi que Maître joue au début avec ses doigts tandis qu’il me fait un anulingus. Mon corps répond et suit les mouvements et le plaisir donnés par Maître.

Et ce, avant qu’il ne s’empare du Wand, il le met sur le rosebud, entre mes lèvres, sur mes seins, sur mon dos et même sur mon collier de chienne. Je l’ignorais mais sentir les vibrations via mon collier me fait monter dans le plaisir.

Plus le temps passe, plus je m’affaisse. De temps à autre, je me remets en position de levrette et savoure toutes les jouissances que Maître m’accorde. Je prends aussi conscience de l’humiliation dans laquelle je suis mais me procuré une excitation dans nom.

D’autant que lorsqu’il s’empare du gode noir, je l’aide à ce qu’il rentre au plus profond de mon être. Même quand Maître ne bouge bas, je remue pour que le gode noir me procure ce que je souhaite. Comment ne pas me sentir Cookie et y prendre du plaisir ?

Suite à plusieurs jouissances, il m’ordonne alors de me mettre sur le dos et continue de jouer avec le gode noir et le wand. Il s’amuse et prend plaisir à jouer avec le mien. Bien évidemment, il souhaite une chose et c’est en général l’apothéose de ces moments : que je réclame son genou. Ce qui finit toujours par arriver.

Il s’allonge alors, je me positionne et je prends l’orgasme que j’ai tant mérité. J’aimerais que cela dure plus longtemps et fait mon possible mais dans le même temps avec ctout ce qui s’est passé, il arrive toujours trop vite. Certes, c’est une situation.encore une fois rabaissant mais à laquelle j’ai pris goût et Maître aussi. Comme si cela était le point final de ma soumission lors des séances. Ce qui est en général le cas en fait.

Maître éteint la lumière et nous nous endormons. Je ne dors pas collé à Maître pas cette fois, j’ai trop chaud. Je m’endors plutôt facilement contrairement à d’habitude.

Je me réveille dans la nuit. Je veux me rapprocher de Maître et me rend compte qu’il a un petit souci vu qu’il est assis. Je lui demande s’il souhaite rentrer mais non, il veut rester. Je lui explique que j’aurais aimé me coller à lui. Je sais qu’il le fait pour moi car la raison aurait voulu qu’il rentre. Il se réinstalle pour me prendre dans ses bras.

Il en profite pour jouer de nouveau avec mon plaisir en prenant en bouche mes seins tandis que ses doigts sont en moi. Sans m’en rendre compte, je suis allongée sur le ventre tandis qu’il s’amuse avec moi voire me rabaisse pour ce soit moi, en remuant, qui m’accorde mon plaisir.

Honnêtement, je ne sais plus si c’est ce moment ou la veille voire les deux où il me traite de chienne. Je n’oserais pas lui dire mais j’aurais préféré qu’il utilise Cookie. Dans la hiérarchie de l’humiliation, il y a d’abord Soumise qui est le moins haut niveau, Chienne qui est maintenant le niveau moyen et Cookie qui est le plus dégradant mais qui me fait plus d’effet. En réalité, je prends conscience que je souhaite, désire et ait envie qu’il m’humilie de plus en plus. Cookie est l’un des moyens. Mais je n’oserais pas lui dire. Comme lui, j’ai envie s’il devine ou utilise tous les moyens quand cela se fait sentir.

Cela n’empêche en rien de prendre mon plaisir comme il me l’accorde

D’ailleurs,il me le fera remarquer mais cette fois pas de cunnimingus. Mais en ai-je vraiment besoin ? D’autant que ses dents sur mon corps compense largement la torture de plaisir subie.

Quand je finis par me calmer, car visiblement je suis aussi insatiable que Maître, il arrête et nous nous reposons.

Notre repos ne dure que quelques heures. A l’un de mes réveils, Maître me dit qu’il part mais que je peux rester dans mon lit. Je le fais. Je me souviens qu’il m’a dit une phrase et m’a embrassé avant que je me rendorme.

Je me réveillerais quelques heures plus tard. C’est grâce au collier que je sais que ce n’est pas un simple rêve. C’est bien une réalité même si je me demande si parfois je n’hallucine pas ou si c’est dans mon imagination.

Car après tour, ressentir de tels plaisirs, me reposer sur Maître, avoir droit à sa tendresse, à son attention, c’est tellement bien que je me dis que parfois, c’est impossible que je le vive réellement. Et pourtant, le fait que ce blog existe me le rappelle.

Je n’ai qu’une hâte : tevoir mon seule et unique Maître et être à nouveau à ses pieds. le seul hic, c’est que je ne sais jamais quand. Ainsi est la vie

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1 commentaire

  1. Toujours égale à elle même cette Lili

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