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Maître n’a pas précisé la tenue mais m’a indiqué de prendre les accessoires suivants :

  • Wand
  • Gode Noir
  • Laisse
  • Boules de Geisha
  • Rosebud
  • Bâillon os
  • Pince tétons slave

Il a ajouté la précision que je devais avoir beaucoup bu auparavant. J’ai bien compris que l’idée de Maître serait une petite promenade avec à la clef assouvir mes besoins certainement en chienne.

Toutefois, n’ayant eu aucune indication sur la tenue, j’ai mis un haut noir avec un profond décolleté comme il les aime et une petite jupe bleue.

Je bois beaucoup de manière à avoir envie d’aller uriner au moment de son arrivée. Mais comme à son habitude, il me fait attendre et les toilettes m’appellent. Je lui demande la permission que j’obtiens, car il m’exprime que ses plans ont changé.

Je comprends qu’il pleut, mais ignore si ce sera le Moon ou le coin tranquille.

Quand il me bipe, je me précipite dans l’ascenseur où j’enfile mon collier.

Avec la pluie, les salutations sont courtes et je grimpe dans la voiture sitôt qu’il m’ouvre la portière. Direction le coin tranquille.

Comme à notre habitude, Maître s’installe à l’arrière et je m’allonge sur lui où commence le moment « détente, massage et sensibilisation des tétons » (cf. l’article moment de tendresse)

Mais contrairement à la dernière fois, je constate que je me comporte comme une chienne.

Je fais une parenthèse sur le mot « chienne » afin de vous en donner ma définition. Car je sais que certains vont avoir une vision erronée de ce mot. Ce que j’appelle chienne qui est ma part « Cookie », c’est lorsque j’agis en tant qu’animal. Autrement dit, je caresse ma tête contre mon Maître, je ne réfléchis plus, mais réagis à ce que me fais subir Maître. Je me laisse aller et donne le contrôle à mon corps.

Si cette définition n’est pas claire pour vous, je peux répondre à toute question.

Je constate que rapidement mes seins, ma chatte et mes fesses sont à sa disposition tellement je suis détendue. Aucune appréhension même si à des moments, je me demande ce qui m’attend. Je me retrouve allongée sur le côté tandis que Maître me caresse la tête, joue avec mes seins, me donnent des tapes sur mes fesses ou ma chatte, me doigtent simplement.

Vous n’imaginez pas ce que j’aurais pu donner pour qu’une personne prenne une photo à ce moment-là pour immortaliser ce moment. Dommage qu’à défaut, je ne sache pas dessiner. J’aurais aimé avoir gardé un souvenir visuel de ce moment.

Vous pourriez me demander ce qu’il a de particulier par rapport aux autres. Simplement que pour la première fois dans ma soumission, je me sens Cookie presque à 100%. Il n’y a quasiment plus d’humanité en moi, plus de Lili, plus de soumise, juste une chienne animale à la disposition de son Maître et attendant son moindre ordre. Pourquoi pas les 100% car comme il me l’a fait remarquer, je continue de parler en langage humain. Je le serais à 100% quand je perdrais cette manière de parler dans des moments précis.

Mais voilà, c’est un moment important puisqu’on l’attend depuis des années avec Maître et c’est enfin arrivé.

Je suis lovée dans les bras de Maître tel un animal et il en profite et abuse de mon corps. Il me sent tellement chienne qu’il me fera jouir en insérant un doigt dans mon anus. Juste le fait de me traiter de Cookie me fait monter dans la surexcitation. J’ai tellement besoin de me sentir ainsi que je cherche à faire tinter ma médaille. Je veux l’entendre, je veux être Cookie, je veux être chienne.

Même si je ne vais pas respecter l’ordre de ce qui s’est passé, il est important de noter que j’ai joui plusieurs fois ainsi dans différentes positions.

Lorsque Maître joue avec mes seins me faisant remonter dans le plaisir, je me mets instinctivement à me frotter contre sa jambe derrière moi. Il ne s’y attendait pas, mais est fier de moi et est content, mais en la déplaçant me rappelle que mes plaisirs et mes jouissances lui appartiennent. C’est lui qui décide quand et comment.

Je crois aussi qu’il a compris que lorsque je jouis, lorsqu’il m’autorise à jouer, m’ordonne de me laisser aller, m’ordonne de jouir, mon excitation est décuplée et j’ai apprécié qu’il le fasse.

Sans compter que l’humiliation aide aussi et il le fait en me donnant deux fois son pied pour me frotter contre lui. Il est vrai que n’importe qui serait passé à ce moment, il aurait pu profiter de moi sans un mot de ma part.

J’ignore si Maître a mesure combien le cliquetis de ma médaille aide dans ma jouissance. Je le lui fais remarquer, car je ne suis pas sûre. Ce qui a pour effet qu’il teste. Et quand il joue avec ma médaille et uniquement ma médaille sans rien faire sur mon corps, j’en jouis.

Je frotte même ma tête contre son torse comme un animal le ferait pour montrer son contentement.

Il y a deux choses qui me sont venues en tête, mais que je n’ai pas osé faire. Allongée sur le dos, seins à l’air, chatte offerte, lui jouant avec mes tétons, j’ai eu envie de glisser ma main entre les jambes et m’amuser vu que Maître me frustrait.

La seconde est de lécher sa main pour le remercier de ce moment de plaisir et de me traiter comme il se doit. Mais j’ignore comment il aurait réagi et s’il aurait apprécié.

Mais pour vous montrer à quel point toutes mes barrières et mon humanité peut disparaître en devenant Cookie.

À voir s’il m’en parle après avoir lu ou s’il me permet de le faire pour la suite.

Bref, moment intense pour moi me comportant en la Cookie qui est en moi.

Quand la pluie se calme, je me rends compte qu’une autre envie demande à être assouvie avant de nous en aller. Il ouvre la portière et m’ordonne d’uriner accroupie devant lui.

J’avoue qu’il me faut quelques secondes avant de m’autoriser à le faire. Mais le regarder durant mon soulagement m’est impossible.

Et vu la quantité qui en sort, cela était nécessaire. Il me donne une petite serviette pour m’essuyer et m’autorise à fermer la portière et à m’installer à l’avant. Et ce, pour me raccompagner.

Avant de partir, il m’ordonne de dormir avec le gode en noir durant la nuit sans pouvoir jouir avant le matin. Je dois également porter mes entraves et mon collier.

Malheureusement, le gode noir me fait mal et m’empêche à trouver le sommeil tant nécessaire. Je décide de l’enlever. Toutefois, voulant exécuter cet ordre, je sais qu’une nuit prochaine, je prendrais un gode aussi gros mais plus petit et dormirait avec lui dans les mêmes conditions.

Je pense que cela sera plus supportable et plus aisé à répondre à cet ordre récurrent. À suivre dans mon journal intime…

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