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Après la sortie au Moon, nous retournons à la voiture. Maître m’ouvre la portière et m’y installe comme il me l’a appris en remontant ma jupe pour que mes fesses soient au contact du fauteuil.
Je suis étonnée d’une chose et lui en fait part :

« Je pensais que tu m’aurais demandé de m’asseoir sur le Wand.

– Tu aurais trempé le siège. Ce n’est pas une bonne idée. »

Maître nous ramène chez moi.

Une fois arrivés, j’attends néanmoins les instructions. Visiblement, je suis libre de mes actions, mais je demande quand même l’autorisation de me coucher.

Je vais dans ma chambre, me dénude et rentre dans ma couverture tremblante tellement il fait froid. Le chauffage n’est pas encore allumé et je dois dire que le soir, il fait très frais.

Maître ne tarde pas à m’y rejoindre.

Fatigués comme nous sommes, je me suis dit que rien ne se passerait avant de dormir. Mais comme à son habitude, Maître joue avec mes tétons et mon clitoris sensible. Sans compter des doigts qui me pénètrent doucement.

Toutefois, mes gémissements arrivent bien vite et sont plus courts qu’à l’accoutumée.

Mais Maître fait une chose surprenante et inédite : il souhaite que nous nous endormions tandis qu’il a un doigt dans ma chatte.

Bien évidemment, je ne peux m’empêcher de bouger avant de m’endormir. Non pas à cause du doigt, mais parce que je bouge beaucoup avant de m’endormir. Mais son doigt reste là où il est et même un bon moment.

Maître finira par le retirer bien longtemps après.

Toutefois, durant la nuit, plusieurs fois, je sens des caresses sur ma tête. Mon ressenti est qu’il me traite comme un animal, sa chienne. Chose qu’il confirmera le lendemain matin. Je ne suis plus sa soumise, mais son animal et son jouet à disposition.

Nous nous réveillons dans la nuit ou bien c’est le matin. Peu importe, Maître joue de nouveau avec mon corps et me dit :

« Il n’y a pas une chose que tu devais faire ce matin ? »

Je retire la couverture. Je me déplace pour prendre en bouche son sexe tandis que je lui présente mon intimité et mon cul.

Je dévore sa bite avec un grand délice, mais comme cela est bien loin de suffire à Maître, il pose son autre pied autour de mon cou ou sur ma tête pour m’avilir encore plus. Mes gémissements et ma jouissance sont toujours multipliés dans ces cas-là, car des doigts farfouillent mon intimité quand elles ne me caressent pas les fesses ou me donnent une tape.

« Lèche mon pied. »

Je libère son sexe et lui obéis. Comment ne pas me sentir humiliée dans ses moments-là. Une envie, forte, monte en moi. Mais ai-je le droit de proposer ? Maître acceptera-t-il ?

J’en ai vraiment très envie et ce serait l’apothéose de ce moment.

« Maître, j’ai bien envie de me frotter contre ta jambe

– Plutôt le genou ma chienne. Viens. »

Je me retourne. Je me pose sur son genou et je me frotte à mon rythme contre lui. Maître m’encourage et je crois que de me voir ainsi (même si nous sommes dans le noir) lui plaît.

Je me pose à côté de lui et nous nous rendormons après une courte discussion.

Le sommeil ne dure guère longtemps (ou peut-être que si, car avec lui, je perds la notion du temps, les minutes se transforment en heure tandis que les heures se transforment en minutes).

Lors de ce dernier réveil, Maître rejoue avec mon corps et juge que je mérite un cunnilingus. Toutefois, je crie aïe rapidement et il y va doucement.

C’est à ce moment précis que je reçois un appel de mon papa.

Et au lieu de me laisser tranquille, Maître joue avec mon clitoris. Mais j’avoue qu’il y va doucement, car il aurait pu y aller plus fort.

Je raccroche et Maître me donne un ordre :

« Vas chercher le Wand et je veux que tu le ramènes en étant à quatre pattes. »

J’obéis, mais j’avoue que j’ai du mal à trouver comment le mettre dans ma bouche tellement il est grand.

(Je vais m’excuser auprès de Maître, car je ne sais plus l’ordre exact de la suite, mais tous les évènements y seront sauf si ma mémoire défaille).

Je rentre dans la chambre à quatre pattes avec le Wand dans ma bouche. Je grimpe en chienne et le donne à Maître.

Il me fait m’allonger sur le dos et joue avec mon intimité. J’ignore comment ou si cela avait été un ordre, mais je me retrouve très vite sur le ventre avec son odieux pouce en moi. Il est odieux, car si je veux de la jouissance et du plaisir, c’est à moi de bouger, c’est à moi de remuer pour obtenir ce que je souhaite. D’autant que Maître donne de temps en temps des coups de genoux pour accentuer mon plaisir.

Il se saisit du Wand et c’est encore une fois à moi de remuer pour obtenir ce que je souhaite tandis qu’il le balade entre mon anus et ma chatte. Je crois que cette fois, je reçois l’ordre de me mettre en levrette pour jouer avec le Wand.

Maître m’encourage, il est content, mais comme cela ne suffit pas. Je finis par m’asseoir dessus, mais il me rappelle à l’ordre :

« Qui t’a dit de bouger ? »

Je me remets en position, mais je veux plus, le plaisir obtenu ainsi n’est pas suffisant. Maître y glisse ses doigts en moi et je change une nouvelle fois de position en m’asseyant dessus tel que la chienne l’animal.

Je le fais remarquer à Maître :

« J’ai l’impression d’être une chienne, l’animal

– Mais c’est ce que tu es : ma chienne. »

Je le sens que je suis humiliée au possible, mais je suis accro à ce plaisir qui en découle, il me fait tellement du bien. Et je crois même que je suis insatiable.

Mais c’est ainsi que se terminera mon plaisir.

Nous nous rallongeons, moi dans les bras de Maître.

Mais ce n’est que de courte durée, car quand il regarde l’heure, il doit partir. Et moi, qui en voulait encore. Au moins une dernière.

Il se lève, s’habille. J’en fais autant pour le raccompagner. Mais je retournerais me recoucher, car quand je dors avec lui, j’ai un manque crucial de sommeil que je dois rattraper, car à la quarantaine, difficile de récupérer le sommeil manquant.

Mais entre manquer de sommeil et passer de tels moments et passer une nuit à dormir sans aucun plaisir charnel, je préfère la première option.

Maintenant, je n’ai qu’une envie : j’ai posé un vendredi et j’espère que Maître en passera une partie avec moi pour me traiter comme il se doit ou bien de me trouver un ou une partenaire avec qui me partager et me traiter comme sa chienne devant cette personne.

Enfin, je dis cela, mais en serais-je capable ?

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