Récit Fictif – 2 Maîtres promènent une chienne

2023 10 08 13h36 43

Récit fictif qui mêle mon envie du moment et mon désir pour 2 maîtres.
Comme d’habitude, j’ignore ce qui va se passer. Je me fais tout un film. Mais voilà les ordres qui m’indiquent que l’on sortirait :  » Ton collier de chienne, Ta robe à bouton sans rien, ta queue de chienne. Tu as le droit de mettre un châle pour cacher le collier et pour la queue, tu la mettras dans la voiture. Prends avec toi le Gode noir et le Wand chargé également. »

Ces ordres sont toutefois étranges, mais ai-je le choix ?

L’heure arrive, mais comme il est de coutume, Maître Yannick est en retard. Je ne tiens plus en place. Mille images sont dans ma tête, je suis excitée tout comme j’appréhende. Enfin, ce que j’attendais arrive : « Descends ».

Je me précipite avant de me dire « Stop, il t’a fait attendre alors prends ton temps. Bon pas trop, car il risque de te punir. »

J’arrive à la voiture et surprise, je vois un homme qui accompagne Mon Maître. Je le connais pour l’avoir vu plusieurs fois et avoir envie de lui : c’est H.

Maître Yannick va au-devant de moi, je n’ai pas de mots. Je le laisse m’embrasser me caresser. Je me dirige vers H. même si je ne sais pas comment lui dire Bonjour. C’est lui qui m’embrasse et fais la même chose que Maître Yannick. Donc ce soir, je serais partagée.

Maître Yannick ouvre la portière arrière et m’y installe. Les 2 Maîtres sont devant. La discussion va bon train même si aucun indice n’est donné sur le lieu d’arrivée. J’appréhende.

Maître avance et je reconnais la route : direction la forêt. Maître Yannick se gare. Les 2 Maîtres sortent. Moi, j’attends. Je n’ai pas le droit de sortir seule. Maître Yannick ouvre la portière et m’ordonne : « Donne ta queue et met-toi à quatre pattes.

J’obéis promptement. Et j’entends mon Maître dire :

« A toi l’honneur. »

H. Soulève ma robe, caresse mes fesses avant de me doigter.

« Hmm, qu’elle est bonne cette chienne. »

Il glisse le rosebud dans ma chatte avant de l’installer dans mon cul.

Mon Maître m’ordonne alors de lui donner le gode noir et le Wand qu’il met dans son sac. Il me permet enfin de sortir de la voiture. Il accroche la laisse, déboutonne les boutons ceux qui permettent de dévoiler mes seins en marchant et me dit : « Les règles sont les suivantes, tu es devant nous et sauf si nous nous adressons à toi, tu n’as pas le droit de parler. Nous promenons une chienne et une chienne ne sait qu’aboyer.

– Bien Maître.

– Qu’ai-je dit ?

Je pense à ce qu’il vient de dire et lui réponds timidement :

– Waouf.

– C’est bien ma chienne. »

Je crois qu’en terme d’humiliation, c’est le plus haut grade. Je marche devant et mes Maîtres alternent la prise de la laisse. Par moment, ils la raccourcissent, d’autres fois la rallongent. Ils discutent comme si de rien n’était et moi qui ne suis rien d’autre qu’un animal. Nous croisons quelques hommes qui ont l’air content du spectacle donné, mais ne nous embêtent aucunement même si certains font des commentaires à mes 2 Maîtres.

À la pression de la laisse, je comprends qu’il faut que je tourne et nous nous détournons du chemin. Un peu isolés, j’entends :

« Arrête-toi.

J’obéis. Maître Yannick vient devant moi, déboutonne le peu de bouton restant, enlève ma robe et la prend avec lui :

– Une bonne chienne ne porte pas de vêtements. Mais sache que le risque de croiser d’autres hommes est plus faible par ici. »

Je sais qu’il ne me fera prendre aucun risque. Nous revoilà partis, moi, nue devant en laisse avec ma queue de chienne. Eux derrière, tenant la laisse. J’ignore combien de temps cela dure, mais cela me semble une éternité. J’appréhende de croiser d’autres personnes. J’ignore comment je le vivrais.

 » Arrête-toi, appuie tes mains sur l’arbre et cambre-toi. »

J’obéis. Maître Yannick vient à ma hauteur, il tient la laisse et me montre le martinet. C’est lui qui commence. Il caresse ma peau avant de me donner quelques coups qui me font gémir.

« Je peux moi aussi ?

– Bien sûr. »

Et voilà que H. me donne quelques coups. Ils sont différents, mais me font le même effet d’excitation. Par moment des doigts sont dans mon intimité.

 » Elle est prête à couler si tu le veux. Dis Maître Yannick.

– Je veux lui manger les seins pendant. »

H. me décolle de mon arbre et prends en bouche mes seins. Maître Yannick insère ses doigts en moi. D’habitude, j’arrive à gérer et à supporter. Mais une explosion en moi se fait, c’est insupportable. Je ne sais ce qui m’excite le plus, la sensation sur mes seins ou celle de ma chatte.

« Je ne peux pas. C’est trop puissant, je glisse dans un gémissement. »

Mais ni l’un ni l’autre ne m’écoute et je me mets à couler. H. sentant mon orgasme me regarde. Maître Yannick laisse ses doigts en moi et m’ordonne :

– Encore et tu le regardes dans les yeux.

A peine ai-je eu le temps de réaliser ce qu’il venait de dire que je coule une deuxième fois. J’ai bien eu du mal à regarder H. dans les yeux, mais j’y suis arrivée. Maître Yannick se stoppe, m’essuie avec un mouchoir.

H. Sort de son sac une couverture. Cette fois, c’est lui qui m’ordonne de me mettre à quatre pattes.

Pour rappel, je suis nue en laisse avec mon rosebud avec deux Maîtres qui, eux, sont entièrement habillés…

Maître Yannick dit alors à H. :

– Elle est entièrement à toi.

– Pour avoir lu ses récits, je veux bien le Wand s’il te plaît. »

Et voilà que H. allume le Wand et le pose sur mon clitoris, je jouis instantanément, mais comme ils sont joueurs Maître Yannick lui dit :

– Pose le Wand autour, joue avec sa frustration, elle te suppliera.

Comment dire ? J’avais envie de maudire Maître Yannick, mais en même temps, je suis à lui. C’est lui qui décide. H. pour son plus grand plaisir suit les instructions et quand je ne tiens plus :

– S’il te plaît Maître H. mets le sur mes lèvres. Je ‘en supplie.

– Tu as entendu quelque chose toi ? Dit H.

Non, rien du tout.

Plus fort et plus larmoyant, je le supplie. Il le pose alors entre mes lèvres, Je fais des mouvements et un orgasme puissant se dégage. Maître H. s’arrête. Ils me laissent tous deux reprendre mon souffle. Du moins c’est ce que je croyais.

Je sens alors un sexe long et dur me pénétrer sauvagement. Des mains s’emparent durement de mes seins. Tandis que Maître Yannick est devant moi à me proposer son sexe. Je m’en empare avec ma bouche.

J’oublie que je suis dans une forêt nue, avec deux Maîtres qui s’emparent de tout mon être. Seule l’extase en moi compte. Seuls mes mouvements qui peuvent combler mon plaisir comptent. Je ne contrôle rien, je ne m’appartiens plus. Je laisse mes gémissements étouffés s’exprimer. Je sens alors le sperme de mon Maître couler dans ma bouche. Il me libère alors de cette contrainte et m’ordonne :

  • Hurle.

Je ne hurle pas, mais mes gémissements sont hauts et forts tandis que H. Me défonce sauvagement. J’aime cela, j’aimerais qu’il ne s’arrête jamais :

– Dis que tu aimes ça. Crie mon nom. »

J’obéis, et ce, jusqu’à ce que je sente son sperme à lui aussi couler en moi tandis qu’un énième orgasme m’envahit. Je n’en peux plus.

À peine H. se retire que je m’écroule de plaisir sur la couverture. Je reprends ma respiration, je revis la scène, l’extase, la jouissance, les orgasmes, le plaisir.

– Tu veux voir comment elle est insatiable ?

– Oh oui. »

Je sens alors quelque chose qui veut me pénétrer. Bien que je sois terrassée par ce qui vient de se passer, mon corps, lui, bouge, remue et réclame encore son dû. Je comprends que c’est le gode noir. Je finis par me remettre en levrette et Maître Yannick me laisse me faire pénétrer par lui. Il me laisse remuer mon bas rein.

Maître H. m’ordonne : « Regarde-moi. »

Je lève les yeux tandis que je m’humilie à jouer avec ce gode et que le plaisir monte encore une fois. Il est moins puissant et fort que les précédents, mais c’est ce qui terminera cette séance. Je hurle de jouissance avant que Maître Yannick le retire, l’essuie et le range dans son sac.

Maître H. me relève et je me rends compte que des voyeurs nous entoure.

Maître Yannick me laisse le choix : « Pour retourner à la voiture, nue ou robe ouverte ? »

Au point où j’en étais, autant aller au bout : « Nue Maître. »

Et me voilà de nouveau devant, nue tenue en laisse avec mes deux Maîtres retournant à la voiture. A ce moment-là, je me fichais bien d’être vu. J’étais dans ma bulle et je revivais chaque moment de cet instant qui, je sais, est précieux puisqu’il n’est pas dit qu’il se réaliserait de nouveau.

A la voiture, Maître Yannick enlève ma queue de chienne, me rhabille. Il ne laisse que mon collier. C’est sur le trajet du retour que nous échangeons tout trois de ce qui venait de se passer. Et je comprends qu’une prochaine fois est fortement envisagée…

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6 commentaire

  1. Bonjour madame, votre récit est peut-être un fantasme mais il est délicieux à lire ❤️❤️❤️

  2. Bien que fictif, ce récit est prenant, dans tous les sens du terme.
    Même si je ne le peux pas, j’aurais aimé être un des promeneurs qui étaient dans les parages.
    La seule vue de maître Yannick, de H. et de la petite Cookie prise par les deux doit être un spectacle oubliable.
    Il ne restera plus qu’à lui donner une réalité quand vous vous sentirez prête Lili.

    1. Bonsoir, Merci d’avoir pris le temps de lire. nous verrons bien si cela se réalise

  3. Je viens, comme vous le suggérez, de relire ce récit, fictif en effet.
    Il y a loin entre la réalité de ce que vivez Lili, et vos récits fictifs qui vont tous bien au-delà de ce que vous pouvez accepter.
    Vous l’avez déjà dit, les situations que vous vivez sont beaucoup plus sages !
    Alors que faut-il en penser ? Que vous souhaitez en réalité aller plus loin ou que votre imagination prend le dessus sur ce que vous acceptez de vivre ?

    1. Désolée mais je ne comprends pas votre commentaire. Soyez plus précis. En quoi ce récit est loin de la réalité de ce que je vis ? en quoi ce récit va au-delà ce que je peux accepter ? En quoi les situations que je vis sont plus sages ?
      Il faut en penser que j’ai pensé à ce fantasme que j’ai eu envie de raconter et qu’au moment de son écriture, celui-là aurait pu être réalisé si les circonstances l’auraient permis. Ecrire me permet simplement de me vider l’esprit de ces pensées

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