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En ce samedi matin, quand je me réveille, mes envies se réveillent. Je ne connais pas encore le lieu du soir. J’ai des idées, des images qui viennent à moi. J’en conclus que j’ai deux envies pour le soir : me comporter en tant que Cookie mais aussi que Maître m’offre en tant que tel.

J’imagine même une scène où j’aborde un homme au Moon, il monte avec nous dans un coin câlin. La règle veut que dans ces moments, je sois assise au pied de Maître tandis qu’il explique qu’il m’offre à lui. Maître ne participera pas mais il autorisera ou non les ordres ou les pratiques demandées par ce Monsieur.

Mon intimité n’est pas indifférente. D’autant que d’autres images viennent, d’autres situations. Mais voilà, il est temps de me lever et d’attaquer ma journée comme il en a été prévu.

L’après midi, après avoir pris un bain et mis ma robe à boutons, j’attends le SMS de Maître.

Sachant pertinemment qu’il sera en retard, je suis à moitié prête. Mais je le regrette car quand le SMS arrive, je m’empare de mon collier, je file aux toilettes. Je mets mes bottines, je prends mon sac, mon téléphone et mes lunettes.

Combien de temps s’est-il déroulé avant que je le rejoigne ? J’espère guère de temps. Peut-il me punir pour cela ? Certainement.

J’avoue que l’idée de la punition me hante. D’autant que j’aimerais l’éviter un maximum. Je le rejoins. Il m’embrasse et me prend dans ses bras. Mon écharpe cache à peine mon collier mais vu que personne n’est dehors, je m’en fiche.

Maître m’ouvre la portière et je m’y installe en prenant soin de relever ma robe. Il rejoint la place conducteur et nous emmène à destination.

Nous discutons de choses et d’autres même si Maître aime jouer avec moi également avec les mots et les phrases. Par moment, je ne sais plus quoi dire car quoique je dise, cela va se retourner contre moi.

Maître profite de temps à autre pour me caresser la cuisse appréciant mon corps offert à ses mains. Il aime que je sois à sa disposition. Mais pas que à la sienne.

Je demande si je dois ouvrir ma robe. Il répond négativement. Pas d’exhibition pour ce soir. Du moins, sur la route.

J’aime ces moments parce que la discussion est toujours intéressante mais aussi qu’à tout moment Maître peut s’amuser avec mon corps. Je lui appartiens et j’adore.

Ce qui n’empêche que lorsqu’il se gare, je m’arrête à temps quand ma main s’approche de la poignée de la portière. Cela m’aurait valu une punition.

J’attends sagement qu’il vienne m’ouvrir la porte, je vérifie que tous mes boutons sont fermés et nous voilà à marcher dans la rue les quelques mètres pour atteindre l’entrée du Moon.

Direction les vestiaires. Je me souviens de la règle. Je me déshabille en premier et une fois nue avec mon collier, je m’agenouille pour enlever chaussures et chaussettes afin d’embrasser les pieds de Maître.

Je me mets en position d’attente :

 » Tu dois enlever mon pantalon. »

J’obéis en prenant soin de ne rien faire tomber des poches de Maître. c’est durant ce moment qu’un homme vient près de nous vu que son casier est collé au nôtre.

Maître me fait me relever, m’autorise à enlever mon collier et j’attends ainsi debout. Enfin presque car par réflexe, je croise les bras devant ma poitrine.

Quand Maître le voit, il me houspille et les retire en m’excusant. Il m’informe qu’il y a du laisser aller et qu’une fessée devant tous est méritée. J’essaie d’y échapper mais cela ne fait qu’empirer la situation. Je prends sur moi en espérant que cela ne se fera pas.

Nous nous rafraîchissons et attendons au bar queques minutes que le buffet soit servi.

Après longues hésitations, je me sers un verre d’alcool pour accompagner le repas. Je ne vais pas dire succulent car c’est loin d’être le cas mais suffisant quand on a une petite faim telle que la mienne.

Au vu du buffet, je comprends qu’il n’y a pas grand monde. Tant mieux ! Quelques couples sont présents ainsi que des hommes. Mais je sens que l’ambiance ne va pas me plaire quand je constate que les hommes font les pieds de grue devant les coins câlins en espérant avoir leur dû. En général, c’est une sensation pesante, malaisante et désagréable.

Nous redescendons au jacuzzi. Est-ce vraiment utile de vous dire ce qui s’y passe. Moi dans les bras de Maître ayant accès à mon corps pour mieux jouer à sa guise avec lui. Prenant mes tétons pour des joisticks et pénétrant mon anus ou mon intimité quand bon lui semble.
Des gémissements émis en regardant autour de moi si nous pouvons trouver un ou des partenaires de jeux.

Sans compter Maître qui s’arrête au bord de ma jouissance et m’informant que ce serait drôle de me laisser dans cet état pour voir comment j’agirais. Certainement, à la recherche d’un partenaire me comblant. Ce qui ne m’empêche pas par moment de japper comme une chienne. Maître adore quand je le fais.

Je dois avouer que quand les premiers viennent, ils sont inconscients. Les suivants sont bien plus conscientisés et voulus.

Ce qui ne m’empêche pas de demander à monter. Maître finit par accepter mais après avoir pris une douche et avoir été au Hammam quelques minutes.

Il m’emmène dans la salle au barreaux. Pour en avoir parlé, j’ai vaguement parlé de son désir de m’attacher et de laisser quiconque jouer avec moi. Mais j’avoue qu’avec tous les hommes qui tournent, ce n’est pas le bon soir.

D’ailleurs, Maître ne m’oblige pas à m’apporcher des barreaux. Je sens au fond de moi que ce n’est pas une bonne idée.

Encore une fois, vous faut-il expliquer comment Maître me donne du plaisir et me fait hurler ? Que ce soit ses doigts, sa langue, ses tapes ou ses dents qui éraflent ma peau.

Un homme arrive derrière les barreaux et me touchent la main. Je n’avais pas besoin de cela pour savoir qu’il était là mais je n’ai aucune envie de m’approcher.

Comprenant qu’il n’aurait pas ce qu’il est venu chercher, il repart aussitôt. S’ensuit un couple qui s’enferme. Quand j’ose essayer de regarder, ils sont assis, elle sur lui dans ses bras. Il nous regarde et commente commente comme s’ils assistaient un spectacle.

Cela ne me dérange pas car ils sont discrets, ils sont complices. Ils ne veulent rien d’autre et cela me convient ainsi.

Maître continue de jouer avec mon corps, ralentissant, me frustrant, réaccélérant. Mais voilà, j’ignore ce qui s’est passé mais une sorte de déclic dans ma tête fait qu’elle tourne. Je ne me sens pas bien.

Je supplie Maître d’arrêter en lui expliquant la situation. Quand je ne vais pas bien, j’oublie les règles et de rajouter son titre. M’obligeant à arrêter.

Il a senti que quelque chose n’allait pas et attend patiemment que je me remette. Un homme arrive à ce moment, collé au barreau et tout son corps crie : « Suce-moi. »

Déjà, je n’apprécie guère car s’il était un tantiner observateur, il m’aurait vu tenant ma tête et compris qu’un truc n’allait pas et ensuite, respectueux, il n’aurait pas hurlé via son corps cet ordre que je trouve immonde à ce moment précis.

Je lui dis non et aussi sec, il s’en va. Je finis par m’asseoir mais j’avoue que je suis fragile. Je me relève et nous descendons boire pour mieux m’en remettre.

Nous finissons par retourner au jacuzzi pour rejouer la même scéne qu’au début de la soirée. Un homme est accompagné de sa femme et il attend qu’elle ait le dos tourné pour jouer avec moi. J’avoue que pourquoi pas, je le laisse faire mais j’ai envie de plus, bien plus.

De ce fait, Maître me suit quand je décide de sortir. Il ne nous suivra pas car comme me l’expliquera Maître, il est coincé par sa femme et n’a pas apprécié sa manière de faire vis à vis d’elle.

Peu importe, nous retournons à la salle aux barreaux de l’autre côté. Maître me refait son fameux cunnilingus amélioré. car comme vous l’aurez compris, ce n’est pas seulement sa langue qui est au plus profond de moi, ses doigts. Et ce, quand il ne décide pas de me donner une tape oud ‘érafler ma peau avec ses dents.

Un couple s’installe de l’autre côté. sentant qu’aucun danger n’est présent, je me colle au barreau. Maître s’essaie à une nouvelle pratique. Il coince entre ses doigts une partie de mon intimité me faisant hurler.

Seulement voilà, c’est puissant. J’ai envie à la fois d’en avoir plus et que cela s’arrête. Je prends sur moi et suis quand même soulagée quandil s’arrête.

Du moins, c’est ce que je crois car le voilà en train de recommencer. Ne tenant plus, je le supplie d’arrêter. Je vais même jusqu’à approcher ma main de la sienne pour l’arrêter :

 » Si je m’arrête, c’est fessée. Que décides-tu ?

Je sais que fessée signifie une grosse tape. Lequel est le pire ?

– Fessée Maître.

– C’est toi qui l’aura voulu.

Il s’assied :

– En position. »

Je m’allonge sur lui sur le ventre. Il me fait choisir un chiffre entre 1 et 20. Si je vais trop bas, il risque de tripler ou quadrupler. Si je vais trop haut, je ne vais pas supporter. Le nombre 13 sort avec hésitation.

Le voilà qui me donne 13 fortes tapes. A la 8ème j’exprime quand même ma douleur car je sens mes fesses rouges et sensibles. Il diminue quelque peu mais pas tant que cela.

Et ce, avant de pénétrer son pouce et de me faire remuer pour avoir mon plaisir. Il me laisse aller ainsi à quelques jouissances avant de dire :

« On devrait peut-être descendre. »

Je veux bien mais n’ayant aucun ordre précis, je ne bouge pas. Selon lui, c’est comme une invitation de ma part à jouer avec mon corps.

Je l’en informe après d’autres jouissances qu’il voulait descendre et limite c’est de ma faute si d’une nous ne sommes pas descendus et de deux qu’il me donne de la jouissance.

Je bouge puisqu’il en est ainsi et descendons nous installer sur un canapé avant de nous rafraîchir.

Bien que cela soit interdit, Maître jouera quelque peu avec mon corps à travers le paéeo mais rien qui nous fera remonter dans le coin câlin. D’ailleurs, je me réinstalle dans ses bras et sans que je m’y attende :

« C’est bien Cookie, bonne chienne. » En me caressant les cheveux.

Je réponds en aboyant et lui demande ce que cela lui fait de me traiter ainsi.

Il m’informe qu’il se sent à sa place. Si vous ne comprenez pas ce qu’il entend par là, c’est que vous ne savez pas qui vous êtes. Mais pour l’avoir ressenti plusieurs fois dans ma vie, je vois tout à fait ce qu’il entend par là.

Dire que je me sens à ma place quand je suis à lui est un bien grand mot. Ne vous méprenez pas, j’adore, je suis demandeuse et consentante. Mais en réalité, je ne sais toujours pas qu’en penser si ce n’est que je prends de ces moments le plaisir et l’endorphine engendrés.

Nous remontons au vestiaire et je me sens planée comme droguée. Maître me dit que c’est l’effet de l’endorphine qui est une drogue naturelle. Je serais dans cet état jusqu’à chez moi même si Maître en profiterait bien mais rien n’est possible.

Il me dépose chez moi avant de repartir. Comme la dernière fois, je garde mon collier pour dormir. Me gênant, il sera vite dégagé durant la nuit. Mais finalement, c’est l’intention qui compte, non ?

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2 commentaire

  1. Un beau récit peut être moins détaillé que d’habitude.mais c est cool de nous. Faire vivre ce bon moment.je suis comme toi j aime pas trop le monde dans des endroits comme ça et encore moins les insistants .bon weekend notre soumise lilie bises

    1. Bonjour,
      Quels sont les détails manquants ?
      Lili

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