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Je suis impatiente de voir mon maître mais encore plus de connaître ses exigences. Non pas que j’appréhende mais savoir la ou les objets à préparer peut m’aider à imaginer ce qui pourrait se passer.

Seulement mon maître me connait, ce n’est quelques heures avant que je reçois ce texto dont j’espère il me pardonnera le partage :

« Bonjour ma chiernne, prévois le Wand chargé, le crochet anal, la corde, les pince tétons à clochette, bracelets chevilles et poignets, le gode noir, un bandeau et un bâillon boule. »

Je prends note mais ne voit pas ma tenue qu’il s’empresse de préciser :

« Ton haut rouge, ta jupe en cuir avec ton collier Bitch ainsi que les bracelets. »

Je prépare le tout sur mon lit et les organise afin d’en faire une photo sympa (du moins, je l’espère).

Je me déshabille et enfile la tenue choisie. Je me pose sur mon canapé, allume la télévision en attendant l’heure fatidique.

Une idée me traverse l’esprit. J’ignore si j’en serai capable. Peu importe, je sors ce qu’il faut et l’annonce sur Twitter. J’adore jouer et chercher mon maître. Et ce, jusqu’à une certaine mesure car je ne saurais en aucun cas remettre en question son autorité ou subir une punition. Chose à laquelle j’ai échappé jusqu’à présent.

L’heure arrive mais il n’est pas là. Je sais qu’il n’est pas très ponctuel mais je manque véritablement de patience. D’autant que je sais que les minutes sont comptées. Nous n’avons que peu de temps et je crains qu’il en manque pour tout ce qu’il a prévu.

Je n’ose pas lui envoyer un message bien que l’envie me titille. La dernière fois, je me suis fait remettre en place parce que je dois attendre. Dévoiler mon impatience ne peut engendrer que punition.

J’allais quand même finir par le faire quand on toque à ma porte.

Je m’y précipite et lui ouvre avec plaisir. Il me prend dans ses bras, me caresse rapidement. Il est ravi de ma tenue.

Il m’emmène à mon canapé, s’y assied et m’invite à le rejoindre dans ses bras. Il a bien sûr repéré la surprise mais j’ignore si je pourrais le faire. J’ignore si la gêne poindrait le bout de son nez nous empêchant d’apprécier ce que j’ai préparé.

Peu importe, nous parlons mais comme vous vous en doutez, les mains de mon maître vont vite dans mon décolleté tandis qu’il m’embrasse :

« Debout.

– Oui Maître.

– Vas chercher ma cravache.

– Oui Maître.

Je vais à son sac à dos et vu que j’en ai eu l’autorisation, je l’ouvre et prend la cravache.

– Dois-je refermer le sac Maître ?

– Non pas besoin.

Je lui emmène la cravache et reste debout.

– Enlève le haut.

– Oui, Maître.

J’obéis et sens que je ne suis pas très sexy vu la manière dont je l’enlève.

– Enlève la jupe.

J’obéis et me demande à quoi sert la tenue si je suis nue aussi vite.

– Tourne-toi.

– Oui, Maître.

Il balade la cravache sur mon corps et se permet même de frapper mes fesses.

– Vas me faire couler de l’eau chaude pour mon café.

– Oui Maître. Tu dois savoir que l’eau chaude mets un peu de temps.

Je prends un mug et vais dans la cuisine. J’attends un temps, qui me semble éternel, que l’eau soit la plus chaude possible.

J’ai vu que sur la table se trouve une dosette.

– 3 doses de sucre.

N’en utilisant pas, il m’indique comment faire. Je lui tends sa tasse.

– Une cuillère peut-être ?

– Pardon Maître.

Je me dépêche pour aller la chercher.

Je reste debout, il mélange son café, pose le mug.

– A quatre pattes. Tu vas reposer mes pieds.

Je me positionne. Quand il pose ses pieds sur mon dos, je sens la lourdeur et me dit que je ne pourrais pas. Il le sent. Il les soulève. Je me repositionne et il pose ses pieds de manière que je n’éprouve aucune douleur.

Je me mets dans une sorte de position d’attente. Je me demande ce que je fous là, ainsi, à quatre pattes en repose-pied. Je pensais que je ressentirais une excitation, du plaisir et je n’ai aucune sensation.

Pourtant, mon maître tâte mon humidité et s’en satisfait. Heureusement, cela ne dure pas longtemps, il enlève ses pieds de mon dos :

– Debout.

Je me lève.

– Empale-toi chienne.

Je m’assieds sur le gode ventousé au bord de ma petite table. N’ayant eu l’ordre que de m’empaler, je ne bouge pas même si l’envie est forte.

– Jouis ma chienne.

Je me mets à bouger comme je peux et je dois avouer que ce n’est pas facile. Vient le moment que j’appréhendais le plus. Je commence à remuer de gauche à droite, de haut en bas afin de ressentir l’excitation et le plaisir alors qu’il est en train de me regarder.

Il ne peut s’empêcher de m’embrasser, m’enserrer le cou avec sa main, se saisir de mes seins. Je continue de bouger, de remuer, de laisser ce plaisir m’envahir.

Il en est plus que ravi, il m’encourage et joue avec mon plaisir de me voir ainsi rabaissée, humiliée devant lui.

– Lève-toi. M’ordonne-t-il quand il juge que cela est suffisant.

– Oui, Maître.

– A genoux. Enlève mes chaussures et mes chaussettes.

J’obéis.

– Allons dans ta chambre.

Je me lève et nous allons ensemble dans ma chambre :

– Je remarque que tu as commis deux erreurs.

– Comment cela, Maître ?

– Tu n’as pas mis tes bracelets chevilles ni sorti un bandeau.

Je me précipite pour en sortir un et m’excuse :

– Pardon Maître, j’ai dû mal lire.

– Allonge-toi sur le dos.

– Oui Monsieur. Pardon, Maître.

J’ignore comment cela est arrivé mais un Monsieur m’a échappé.

– Décidément, Troisième erreur.

Il me laisse m’installer avant que lui, de ses mains, de sa langue, de sa bouche, il s’empare de mon bas-rein. Bien évidemment, les morsures de mes cuisses, de mon ventre et même de mes lèvres intimes sont présentes. Ses mains s’emparent de mes seins quand elles ne sont pas occupées à faire des va-et-vient. il joue avec mes tétons comme si c’étaient des joysticks.

Tout cela, bien qu’habituée, me paraît étrange mais si plaisant. Il s’arrête et m’ordonne :

– Mets le bandeau.

– Oui Maître.

Je l’enfile et il continue son cunnilingus quelques instants avant de sortir et de m’avertir qu’il sortait et bien évidemment, je ne devais pas bouger.

J’attends un temps infiniment long. Je suis en train de me dire qu’il est parti chercher des glaçons. Vu qu’il m’en avait parlé. mais d’une, il ignore s’il y en a et de deux où ils seraient.

Je sens alors des pics parcourir mon corps en entier. Je ne me souviens plus de son nom mais par contre, lorsqu’elle parcoure mes bras, mes cuisses, j’ai bien du mal à me contrôler pour bouger et échapper à cet accessoire. Je n’ose vous indiquer les effets qu’elle a sur mes lèvres intérieures, c’est pire que tout.

Me sentant bien mûre, il pose la roulette et j’entends le bruit que je reconnaitrais parmi mille autres : Maître allume le Wand. Il le pose sur ma chatte et je commence à gémir. il s’amuse alors en me torturant. Il pose le wand quelques secondes, le temps de sentir le plaisir mais le retire aussitôt pour que la frustration naisse. C’est horrible. Maître imite même mes gémissements pour se moquer de moi. Il finit par le laisser le temps d’un orgasme et même d’un deuxième.

– Il est temps de faire la photo pour le donateur. En levrette ma chienne.

Je me positionne, remets en place le bandeau et me doute que c’est le moment du crochet anal. Avant de l’insérer dans mon cul, il le met dans ma chatte humide. Eprouvant du plaisir, je gémis et bouge en conséquence :

– Je t’interdis de jouir.

J’arrête instantanément. Même si l’envie est présente, je ne peux qu’obéir. Le jugeant assez trempé, il l’insère dans mon cul. J’ai à peine senti la première. La deuxième boule rentre un peu plus difficilement. Quant à la troisième, Maître a dû insister, je me suis dit qu’il n’y arriverait pas. Mais je sens la barre dans le bas de mon dos et j’adore les sensations éprouvées.

Mais cela ne suffit pas à mon maître. Il s’empare de la corde préparée, il l’entoure dans la boucle du crochet, autour de mon cou et autour de mes poignets auxquels il a mis en place les bracelets pour que ce soit plus facile.. Je ne peux plus bouger sauf la tête qui a un effet immédiat sur mon cou. Fier de son idée, il prend des photos que j’ai envoyées aux deux donateurs. Elles sont également accessibles sur la page des vidéos.

Mais croyez-vous que cela suffit, j’entends alors ce bruit infernal. Il pose le Wand sur la barre du crochet anal. Les vibrations sont propagées et je deviens folle de plaisir. J’ai envie de remuer, j’ai envie de mieux ressentir ces jouissances mais impossible. je suis à la merci de mon Maître qui joue avec le wand le mettant sur mon clitoris ou la barre du crochet anal.

Les jouissances se succèdent jusqu’à ce que Maître s’arrête. Mais non, il ne me libère pas. Il se saisit de la roulette à pics et la fait parcourir mon dos, mes jambes mes pieds et la fait remonter jusqu’à mon cou.

Selon les zones, je tremble ou rit d’un rire nerveux. Surtout au niveau des pieds…

Finalement, Maître a fini de jouer. Il me libère, s’allonge sur le dos, me permet de retirer le bandeau et d’y aller.

Je ne reste jamais longtemps allongée sur lui dans ses bras. J’adore m’allonger sur le côté fesses contre lui.

Mais je sais aussi qu’il prend cette position comme une invitation à torturer mes seins, me faire hurler rien qu’en jouant avec les tétons.

L’une de ses mains se glissent dans mon entrejambe mais si je veux éprouver du plaisir, c’est à moi de bouger. Alors instinctivement, je le fais. Il adore que je me rabaisse à cela, que ce soit moi qui, finalement, m’accorde ce plaisir.

Mais lorsque j’en ai eu assez et que je cherche à me libérer, il reste en moi, positionne son doigt sur ce qui semble être mon point G et je recommence de bouger.

Je finis par me mettre sur le dos mais Maître continue. Il joue avec mon intimité, me laisse remuer quand je le fais, insiste quand je ralentis et je ne fais que gémir encore et encore.

Il s’empare de nouveau du Wand et la roulette. Je ne me souviens plus de l’ordre mais c’est insoutenable. Il m’est difficile de ne pas m’enfuir. Je subis et absorbe le plaisir dont je ne me lasse pas.

Nous nous arrêtons avant que je ne sois épuisée et je reviens dans ces bras. Même si je suis zen, bien dans ses bras, l’heure me préoccupe. C’est à ce moment-là que je me dis qu’un radio réveil serait le bienvenu. Car pour regarder l’heure, cela veut dire se lever.

J’attends un peu mais le stress est là. Maître finit par se lever et nous avons encore 10 minutes. Nous en profitons juste tendrement en discutant rien de moins rien de plus. Maître se rhabille. Je cache tous les accessoires sous mon lit car je n’ai pas le temps de ranger.

Nous quittons mon appartement en même temps. Chacun retourne à sa vie comme si de rien n’était. Et pourtant, je ne pense plus qu’à la prochaine séance dont j’ignore la date…

Je me demande également si je souhaite être punie ou non pour mes 3 fautes. il m’offre toujours une échappatoire mais peut-être que de temps en temps subir une punition peut être nécessaire. Enfin, c’est à Maître d’en juger, pas à moi.

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