Ce soir, je devais rejoindre Harur et un couple qu’il accueillait chez lui. De ce couple, j’avais rencontré une fois La femme A. Je ne connaissais pas son mari, mais je n’avais aucun doute sur le fait de passer un bon moment en leur compagnie. Et je dois dire que cela s’est révélé vrai.
Je me gare près de chez Harur comme convenu. Il vient à ma rencontre. Si nous désirions l’un de l’autre, il m’a dit que nous ne serions que des amis. Du coup, comment lui dire bonjour ?

Je m’en vais lui faire la bise, mais je comprends qu’il veut un smack. Je le lui accorde. Je marche à côté de lui, mais n’ose me coller à lui ou lui prendre la main. Si c’est ce qu’il veut, je me laisserais faire.

Il ouvre la porte d’entrée et tandis que nous sommes dans les escaliers. Il m’indique vouloir voir ce qu’il y a sous ma robe. Je le laisse faire.

Je rentre chez lui et découvre L. le mari de A. Il est au téléphone avec une copine que je connais et je lui parle quelques secondes avant de rendre le téléphone. Je m’installe sur l’un des deux BZ. Je laisse Harur préparer ce qu’il doit. Le couple finit de se préparer.

Un apéro s’improvise alors. Harur est assis à côté de moi. J’ai envie de me coller à lui. J’ai envie de ses bras. J’ai envie de montrer mon attachement. Mais d’une, je ne savais pas si c’était réciproque. Et de 2, même si le couple en face de nous est libertin, j’ignore si Harur leur avait raconté ce qu’il y avait entre nous. Ou du moins, cette envie, cette tentation, mais que rien n’a été fait.

Néanmoins, par des petites techniques, je me rapproche de lui sans le coller. La discussion va bon train, elle est plaisante et nous nous entendons à merveille. Le temps passe. Nous allons au restaurant.

Rien de spécial à dire sur le chemin ou le restaurant. Notre entente, le plaisir, la sympathie, la bonne ambiance est la règle qui prévaut.

Nous nous levons et Harur se rapproche de moi, il caresse mon dos et j’avoue que j’adore. Est-ce l’autorisation de me rapprocher de lui ?

Sur le chemin, même si je ne me souviens pas de tout avec exactitude, il me semble que nous nous sommes pris la main et nous nous sommes rapprochés. Arrivé devant chez lui, je pars ou je rentre. Ma fille est seule à la maison et vu que nous avons un problème de Wifi, j’ai dû trouver une solution de contournement pour qu’elle puisse me joindre au cas où. Mais je ne suis pas rassurée. Car à tout moment, cette solution pourrait ne pas fonctionner.

Je décide de monter, mais en indiquant que je ne resterais pas longtemps. Nous nous réinstallons, le couple sur un BZ, moi sur le deuxième et Harur me colle. Il me prend dans ses bras. Au début tout est gentil même si A s’assied sur son homme de manière très suggestive avant qu’elle prenne une position confortable et que L. Lui caresse la jambe.

Harur, lui, commence à me caresser les seins par-dessus la robe avant de rentrer dans mon décolleté. Mais tout cela est fait avec la conversation qui n’a rien à voir. Tout me semble naturel. Plus le temps passe, plus je me sens bien, moins j’ai envie de partir. Oui, une envie monte, mais je suis aussi tiraillée par ma fille. Et si elle avait un problème et qu’elle ne pouvait pas me joindre.

S’il y a un reproche à faire, mais je ne désigne personne, c’est le manque d’accélération et j’y suis pour quelque chose. Car évidemment par moment, la conversation tourne sur le sexe, le libertinage, la soumission.

Harur me donne l’ordre de m’agenouiller. Cela m’a bloqué littéralement. D’une je ne m’y attendais pas, de deux, j’étais tellement bien ainsi et de trois, je ne me sentais pas capable de le faire devant A. et L.

La confiance s’était installée, mais je me suis que très rarement trouver en position de soumise devant des personnes et c’est un blocage à lever. Mais après coup, je réalise que si je l’avais fait, c’est ce qui aurait sûrement accélérer les choses…

Je l’explique à voix basse à Harur qui comprend. Il prend ma main, la pose sur son sexe dur. Il me demande de lui dire combien j’ai envie, combien je veux sa queue. Oui, j’en ai envie, mais ma vie de maman me bloque. D’autant que je crains une chose, oui, de me laisser aller, mais pourrais-je avoir la force et l’énergie de rentrer pour être là au réveil de ma fille ? J’en doutais fortement me connaissant.

A. me pose alors la question :

 » Sur une échelle de 1 à 10, combien tu as envie de partir ?

Elle m’a donné réflexion, si je donne une notre trop basse, ce serait la déception, si j’en donne une trop haute, ce serait mentir :

– 8″

Harur s’écarte de moi. Je me dis que c’est le moment d’y aller alors. J’ai tout gâché. Je me redresse, m’assied et au moment où je dis, je vais partir. Harur se saisit de mes seins et me mord l’épaule. Il faudrait que je le lui dise, mais il peut y aller plus fort. Et il y aurait été plus fort, j’aurais cédé.

Il finit par me laisser me lever. Nous nous dirigeons tous les quatre vers l’entrée et nous n’arrêtons pas de parler. Je vous l’ai dit, nous parlions de choses et d’autres comme si les caresses, les envies étaient absentes. Mais j’ignorais si A. et L. en avaient envie. Car personne n’exprimait les choses franchement y compris moi. Je me disais que peut être, c’était mon imagination.

Harur se retrouve assis derrière moi alors que la conversation va bon train. Il soulève ma robe et il ne fait que regarder mes fesses.

Il finit par se lever et quand le glas du départ sonne enfin, il m’ordonne de montrer mes seins. Je reste figé quelques secondes. Montrer mes seins à lui est une chose, mais au couple ? Même s’ils sont libertins et même si des photos de mes seins sont présentes sur mon blog.

J’obéis. Encore une fois, et avec des si, on referait le monde. Mais s’il les avait saisi, mordu ou jouer avec, j’aurais probablement cédé à la tentation. Mais non, silence est fait avant que Harur m’ordonne de dire au revoir. Je les range. Nous nous disons au revoir avec tout le plaisir de la rencontre.

Harur descend avec moi et m’accompagne à la voiture. Il me fait comprendre que cela aurait sûrement tourné à un plan à quatre si j’étais restée. Si cela n’avait tenu qu’à moi, j’aurais passé la nuit là-bas. Mais au fond de moi, je tremblais de peur que ma fille ait le moindre souci sans qu’elle puisse me le dire. Je lui explique mon tiraillement et le comprend.

Arrivés à ma voiture. Je pose mes affaires sur la banquette arrière. À peine la porte fermée. Harur se colle à moi et fait des mouvements tels que son sexe à travers son pantalon et entre ma raie de mes fesses à travers la robe. Je gémis tout de suite de plaisir.

Je n’ai qu’une envie, même si nous sommes en pleine rue et qu’il y a malheureusement du passage, c’est qu’il me prenne là ainsi. J’en avais trop envie. Il me le fait dire d’ailleurs d’avoir envie de lui, de son sexe de prendre mon pied.

Il me libère. Je vais au niveau de la place conducteur. Mon dos colle la voiture et nous nous embrassons. Il caresse mes seins, il a envie de moi, il a envie de me dominer. Tout comme moi, mais l’envie de me rassurer, de savoir que ma fille va bien est trop forte. Et le seul moyen que j’ai, c’est de le voir de mes yeux.

Il dégrafe son pantalon et me fait mettre ma main sur son caleçon avant plus tard qu’il me fasse prendre le sexe de ses mains. Il me demande si son sexe me satisferait. Je n’en ai aucun doute. Non pas à cause de sa grosseur ou de sa longueur, qui sont plutôt plus que la moyenne (même si finalement je n’ai aucune idée d’où se trouve la moyenne) mais parce que c’est lui, parce que c’est naturel, parce que cela semble être dans l’ordre des choses.

À un moment, je me jette sur lui pour l’embrasser. Je cède à ma pulsion. Et je peux vous assurer que ce genre de choses ne me ressemble pas. C’est mon corps, c’est mon envie qui parle. Quand nous arrêtons, j’ai envie de recommencer, mais il joue avec moi en m’évitant. Avant de céder.

Il me donne l’ordre suivant : lorsque je me toucherais, au moment de la jouissance, de crier son nom.

Il me laisse enfin partir même si je m’excuse de la frustration engendrée chez nous deux. Parce qu’elle est bien là. Cela fait deux fois que je laisse passer l’occasion. La première parce que je ne le sentais pas. Cette fois, parce que je suis une maman.

Y aurait-il une troisième, je n’en doute pas. Je me mets en route et repense à ces derniers moments. Et si, s’il y avait eu une accélération, si je m’étais agenouillée, s’il m’avait mordu plus fort, s’il avait joué avec mes seins, si les choses avaient été plus franches, si le couple avait commencé les caresses comme celles d’Harur et moi, si ma fille avait été gardée, s’il n’y avait pas eu ce p* de problème de wi-fi et si…

Je suis dans ma voiture, en train de rentrer et sûrement que je m’autoconvaincs, mais je pense que j’ai pris la bonne décision. Car même s’il y avait eu un plan à quatre, je me connais après une partie de sexe surtout dans l’état où j’étais, je n’aurais eu qu’une envie : dormir. Et conduire ne serait-ce que les 20 minutes, je n’aurais certainement pas pu. Alors oui mettre un réveil tôt le matin aurait été possible, mais bon…

Lorsque je rentre, la première chose que je fais est d’aller voir ma fille qui dort à poings fermés dans son lit. Un énorme poids s’enlève de mes épaules. C’était la première fois que je la laissais seule aussi longtemps un soir avec un risque qu’elle ne puisse pas m’appeler. Je suis rassurée. Tout va bien. Je me déshabille, vais dans mon lit et envoie un message à Harur.

D’habitude, je mets beaucoup de temps à m’endormir. C’est l’une des rares fois où à peine la tête posée sur le coussin, je m’endors. C’est le lendemain que je comprends que même si j’avais eu envie, mais pas pu profiter de ma vie de femme, j’avais pris la bonne décision en choisissant ma vie de maman.

Et puis, ce n’est pas fini, loin de là. Je sais que je reverrai Harur, seul ou pas. Je reverrai L. et A. Maintenant, il faudra voir quand, où et à quelles occasions.

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