Ce soir, je dois voir Harur. Je sais qu’il me désire et je peux avouer ce jour que je le désire. J’ignore comment va se dérouler la soirée, j’ai plusieurs scénarios en tête, mais j’ignore s’ils peuvent lui plaire et surtout si j’oserais.
J’hésite longtemps sur la tenue à porter. Mon choix se porte sur la fameuse robe à boutons que Maître Yannick apprécie et un collant faisant jarretelles et une culotte. Dans mon sac, j’embarque collier, laisse et œuf vibrant.

Mais seul Maître Yannick le sait.

L’heure arrivant, je récupère Harur à la gare et nous commençons le trajet d’une demi-heure. L’inconvénient qui est apprécié par les hommes et que les boutons se dégrafent aisément seuls en fonction de mes mouvements. Ce qu’a décidé le bouton du haut.

Il a donc servi de prétexte à Harur de glisser ses mains dans mon décolleté pour caresser mes seins. Je trouve cela étrange, mais rapidement plaisant et naturel comme si ce n’était pas la première fois.

Je suis troublée et j’avoue que j’ai bien du mal à contrôler la vitesse de la voiture même si je ne fais pas de grands excès. Il me fait poser ma main droite sur son sexe dur et me fait dire que j’aime cela.

Il me parle de ses envies, du fait de s’arrêter dans un coin et de me prendre. J’en ai bien envie, mais je préfèrerais plus tard dans la soirée.

Il libère mes seins qui, avec la robe déboutonnée sont à l’air le restant du trajet. Une fois garée, je la reboutonne et me laisse aller dans les bras de Harur et même l’embrasser.

Nous sortons et allons au pub qui fait aussi office de restaurant, il fait des gestes et marche proche de lui. Nous nous installons et buvons un verre accompagné d’une tranche de charcuterie. Il me demande si je peux aller aux toilettes et prendre une photo de mes seins. Je ne m’en sens pas capable.

Par contre, je m’empare de l’œuf vibrant et part aux toilettes pour l’allumer et l’insérer en moi. Revenant à table, je donne la télécommande à Harur. Il s’en amuse. Son regard, je l’adore, mais il me gêne, il a envie de moi, mais il y a aussi de la tendresse, voire une forme d’amour.

Seulement, je sais que de son côté, une relation de ce style n’est pas possible d’autant qu’il attend une chose que je ne pourrais jamais lui donner. Mais j’ai envie de vivre ce que nous devons vivre, en prenant garde à mes sentiments pour ne pas souffrir.

Nous décidons finalement d’aller au cinéma qui est à 5 mn à pied. Malgré que l’on se soit dit que nous ne pourrions être qu’amis, il prend ma main. Dans le cinéma, rien ne se passe si ce n’est que l’on s’est tenu la main tout du long, ma tête sur son épaule et se caressant gentiment le bras ou la jambe. Il s’est juste permis de mordre mon bras me faisant réveiller mon excitation

À la fin du film, nous nous levons, il me fait mettre devant lui et glisse ses mains dans mon décolleté pour attendre la fin du générique. Encore une fois, je trouve cela normal, j’en ai envie et cela donne du plaisir.

Me revoilà à reboutonner ma robe avant de revenir la voiture. Et nous sommes gênés, que faisons-nous.

Nous décidons que je le ramène chez lui. Bizarrement, aller dans une forêt ou un coin de ce style, je n’en ai pas envie. Alors, nous y allons. Devant chez lui, je me jette dans les bras qu’ils m’offrent. Me mord le cou, caresse mes seins. Il s’y dirige, mais ne caressera jamais mon intimité.

Il me mord quand même un téton. Clairement, nous avons tous les deux envies. Mais dans le même temps, nous sentons que ce n’est pas le bon moment. Que même si nous passons un bon moment, nous risquons tous deux de le regretter. Alors, il monte chez lui tandis que je rentre chez moi.

Depuis, j’ai envie de sentir de nouveau ses mains sur ma peau. J’ai envie qu’il me possède. Mais je crois que cela ne se fera jamais finalement. Comme on dit, seul l’avenir nous le dira.

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