Lili Soumise sous les draps

Maitre se gare dans ma résidence. Me doutant qu’il n’y aurait personne, j’ai gardé mon collier autour du cou. Maître révèle assez rapidement mes seins et nous rentrons ainsi dans mon appartement.

À l’entrée, Maître me demande d’enlever ses chaussures et chaussettes après que j’ai enlevé les miennes. Il m’autorise à me relever, mais attache la laisse à mon collier.

Cette fois, je peux me rendre debout dans ma chambre même s’il met une pression pour me faire sentir chienne.

Il me fait mettre à genoux et comme au Moon, il me demande de lui enlever pantalon et caleçon. Je le fais avec mes mains en lui tendant ses vêtements pour qu’il les pose. Il enlève sa chemise et me fait remarquer que pour la première fois, il est nu avant moi.

Il me fait me relever et m’aide à enlever ma robe afin que la laisse ne s’emmêle pas.

Il m’ordonne de m’allonger sur le dos et en profite pour prendre en bouche mes seins, les titiller avec ses mains avant de descendre jusqu’à mes lèvres intimes pour me faire grimper dans le plaisir. Il tire sur la laisse pour me rappeler que je suis Cookie, une chienne, sa chienne.

Quand la jouissance est au bord de l’explosion, il me fait mettre en levrette, la chaîne entre mes lèvres et presque naturellement, je frotte contre elle. Parce que je veux du plaisir, je suis excitée et que cela m’aide à l’obtenir. Maître ne cesse de me dire combien il aime quand je suis ainsi. Même si je ne comprends pas encore ce que cela veut dire même si je suppose que c’est le fait que je sois bestiale.

Maître glisse alors ses doigts en moi et m’encourage « Vas-y Cookie, Branle-toi sur mes doigts. »

J’obéis et je m’assieds presque dessus comme une bonne petite chienne pour avoir les jouissances qui se succèdent et je dois dire que cela fait du bien.

Après l’ultime, sans le vouloir, je m’écroule. Maître m’enlève la laisse, éteint la lumière et c’est parti pour dormir.

D’habitude, nous nous réveillons en plaine nuit pour nous amuser. Je dois dire que cette nuit-là, rien du tout. Il faut dire qu’il était entre 1H et 2H du matin quand nous l’avons décidé.

Quand nous nous réveillons, je demande l’heure, je suis déçue car c’est l’heure à laquelle Maître me quitte en général. Mais cette fois, il s’amuse avec moi. Je dois être honnête, je ne me souviens lus comment même s’il m’a fait un cunnilingus, a joué avec ses doigts, il m’a obligé à remuer pour avoir mon plaisir, m’obliger à m’humilier.

Je peux juste vous révéler qu’à la fin, je suis allongée sur le ventre. Ses doigts en moi et l’envie de couler. Je me retiens pour éviter de salir mon lit. Mais j’avoue que c’est venu facilement, car je n’ai pas eu autant de jouissance que d’habitude le veille et certainement que Maître m’a trop habitué à couler, je suis en manque. Je le dis à Maître qui va chercher une serviette, me permettant de devenir fontaine et de me soulager de cette envie. Il va le faire deux fois de suite.

À la troisième, mon cerveau dit stop, je n’en peux plus. Je le dis à Maître, mais je sais que c’est peine perdue. Il fait tout pour faire comprendre à mon cerveau que d’une, c’est lui qui décide et que lui ne doit avoir aucune limite si mon corps dit que c’est ce qu’il désire.

J’avoue que je ne suis pas à l’aise, je résiste jusqu’à ce que j’ignore ce qu’il se passe. Peut-être comme une résignation, j’abandonne, mon cerveau lâche et Maître gagne en me faisant couler une dernière fois.

Je me remets de mes émotions, car je dois avouer que c’est compliqué, mais cette fois mon être dit stop, il a eu son compte. En réalité, mon corps est toujours en demande, mais il faut savoir s’arrêter.

Nous nous levons, Maître se rhabille, j’enfile ma robe de la veille et le raccompagne à la porte. Je range rapidement les accessoires et les jouets, change pour une tenue de confort.

Je me remets de la nuit et commence à faire ce que je dois faire tout en attendant tranquillement la fin de ce week-end bien mérité et bien reposant.

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1 commentaire

  1. Que c est encore agréable tu feras attention tu as oublié un p dans ton texte pour faire plus . Franchement tu vas peut être pas me croire j’ai autant d excitation quand je regarde une autre soumise mais en vidéos . J éprouve même. Plus de plaisirs à te lire. Tu viens de me révéler que tu étais femme fontaine j en suis ravi car c est avec une Femme fontaine que j ai pris le plus de plaisir une sensation qu on ne retrouve pas autrement . Mon imagination va loin si on était ensemble pour cette soirée je me ferais invisible un coup que vous seriez couchés je vous rejoindrais dans le lit . Au moment qu il te caressait je deviendrais encore invisible car tu appartiendrais à ton maître jusqu à temps qu il est franchi la porte . Et là tu me rejoindrais au lit . Chose utile ton maitre n aurait pas à aller chercher sa serviette je l aurais fait rire belle journée

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