Après avoir réalisé mon fantasme de faire l’amour avec une autre femme, je me retrouve au rez-de-chaussée avec ma partenaire d’une nuit. Nous avons la surprise de découvrir qu’un buffet est servi. Nous nous servons à manger avant de nous installer dans un coin.
Très vite un homme nous aborde. Elle et moi sommes sociables, nous n’avons aucune difficulté à l’accepter et à discuter avec lui. Même si nous avons compris toutes les 2 où il veut en venir.
Dans le même temps, l’homme qui n’a cessé de nous mater depuis notre entrée le fait encore. Cela nous fait bien rire. Nous prenons cette expérience comme une sorte de jeu où seuls nos plaisirs comptent.
Quand l’homme qui s’est incrusté va se resservir à manger, ma partenaire se tourne vers moi et me dit :
« – Cela te tente ?
Je prends le temps de réfléchir.
Certes, si je l’ai rencontré dans la rue et qu’il m’aurait fait une telle proposition, j’aurais refusé. Toutefois, en quelques semaines, je me suis fait soumettre et a découvert brièvement le monde du BDSM. J’ai abordé et rencontré une femme inconnue afin de lui faire l’amour. Et après tout, un club est fait pour cela, je réponds :
– Allons-y. Profitons un maximum. »
Il revient s’asseoir. Nous continuons de parler tout en finissant de manger. Nous décidons alors tous les 3 d’aller dans le jacuzzi. Il s’assied en premier et nous nous mettons chacune à côté de lui.
Rapidement, il nous embrasse chacune notre tour avant de nous faire embrasser toutes les 2.
L’envie et l’excitation reviennent de plus belle. Nous montons rapidement dans une alcôve, cette fois-ci, les fenêtres sont fermées mais sans porte. Ma partenaire invite l’homme qui nous mate d’y entrer.
Les 2 nous allongent sur le matelas. Celui qui me prend est celui qui s’est incrusté tandis que celui invité prend ma partenaire. Nous sommes toutes les 2 plutôt bruyantes et je pense que cela satisfait nos partenaires respectifs.
Une fois le plaisir quelque peu pris, nous échangeons de partenaire.
Seulement, je crois que je ne plais pas à cet homme car il sort de l’alcôve très rapidement en s’excusant.
De 4, nous sommes passés à 3. Certes, ce n’est pas la configuration qui répond à mon fantasme (H H F) mais pourquoi pas ne pas essayer.
L’homme laisse ma partenaire allongée, me demande de jouer avec ma langue dans son intimité pendant qu’il me prend par l’un ou l’autre de mes orifices. J’ai quelque peu résisté quand il a voulu me la mettre dans mon derrière mais quand je vois qu’il y est entré sans difficulté, je le laisse faire.
Il faut dire que c’est une pratique que j’aime et à laquelle je ne suis plus du tout réticente. Merci à mon maître.
J’appréhende également le fait de jouer avec ma langue dans l’intimité de ma partenaire. J’ai peur de lui faire mal ou pire de ne pas réussir à la faire gémir. J’essaie de reproduire les cunnilingus que mes partenaires précédents m’avaient prodigués.
Je pense que le plaisir ressenti par la pénétration ou la sodomie me donne des ailes. Sans compter que les gémissements de ma partenaire me font penser que je m’y prends plutôt bien.
J’ignore combien de temps nous sommes restés ainsi. Sûrement jusqu’à ce qu’un couple nous rejoigne.
A ce moment-là, je suis tellement dans l’excitation et le plaisir que peu importe qui m’en donne, l’important est que j’en reçoive et en donne à mon tour. Et j’avoue, après coup, que l’arrivée du couple me permet de changer de partenaire.
Mon partenaire prend la femme du couple pendant que son homme prend ma partenaire. Je me retrouve au milieu mais je ne suis pas en reste vu que la femme du couple me fait un cunnilingus quand elle se fait prendre. Mais quand le plaisir est intense pour elle, elle s’arrête.
Je lève les yeux pour constater que si nous sommes 5 à jouer, nous sommes au moins une bonne dizaine dans l’alcôve. La population est majoritairement masculine. Je prends le parti de jouer avec les seins de madame. Je le fais du mieux que je peux en ignorant si ses gémissements proviennent de la pénétration, de ce que je lui fais ou des deux. Puis son homme lâche ma partenaire et décide de me prendre.
Même si cela fait plusieurs minutes que personne ne m’a pénétré ou sodomisé, mes gémissements sont intenses dès les premiers instants. Il arrive à me faire monter jusqu’à l’orgasme même si ce n’est pas le premier depuis que nous avons repris. Je le laisse continuer jusqu’à ce qu’il ait lui aussi joui.
Quand tous les 2 nous en avons fini, nous ne sommes plus à nouveau que 5 dans l’alcôve. Toutefois, un homme entre et je sentis qu’il attend son tour.
J’avoue que repue et fatiguée, je ne peux plus recevoir de plaisir. Il est difficile de l’imaginer et pourtant c’est le cas.
Après quelques échanges verbaux, je décide de laisser ma partenaire tout en me promettant de lui envoyer un texto demain pour vérifier qu’elle a profité de son expérience comme elle le souhaitait et qu’elle était bien rentrée chez elle.
Toutefois, l’homme qui nous a incrusté souhaite me suivre. Je le laisse prendre une douche avec moi, ce qui est fortement recommandé avant de partir. Je n’ai plus aucune envie de toucher personne, je ne lui fais rien. Je le laisse toutefois me laver puisque tel est son souhait.
Enfin, je finis par me rhabiller et rentrer chez moi.
Après coup, en y repensant, je ressens encore le plaisir de cette soirée. Me connaissant, je sais que je ne pourrais pas retourner en club de manière régulière. Mais pourquoi pas de temps en temps. Une fois que je me laisse aller, plus rien ne m’arrête.
Parfois, la morale revient avec force en me disant que ce n’est pas raisonnable. Au final, je couche avec des inconnus et ce sont certainement eux qui profitent plus des femmes que l’inverse. Après tout, ils ont des femmes consentantes et offertes.
Mais nous, les femmes, ne sommes pas en reste non plus. Et j’avoue que pour réaliser mon fantasme, il serait moins dangereux de le réaliser en club plutôt que de faire venir ou d’aller chez 2 hommes que je connais à peine. Car, hors de question de le faire avec des connaissances. On ne sait jamais comment les gens peuvent se comporter après
.Dans tous les cas, j’ai apprécié chaque moment de cette soirée et c’est bien le principal, non ?
