Médaille de Cookie

Fanstasmer en étant Cookie m’excite de me donne envie. Maître me traite ainsi, j’obéis et tout va bien dans le meilleur des mondes. Et pourtant, le vivre réellement n’est pas simple.

Les ordres pour ce soit sont clairs et nets : une minijupe, mon haut rose, mon rosebud dans mon anus et mon collier dans mon sac. Maître doit me prendre aux environs de 20H.

Je reçois un texto vers les 20H15 m’informant qu’il aura un peu de retard. Peu importe, je laisse mon imagination m’emporter.

‘une des premières idées et qu’il me balade en laisse habillée, au premier banc, il s’assiérait dessus tandis qu’il me demanderait de m’asseoir par terre. Un homme demanderait l’autorisation de s’asseoir à côté de lui. Pour compléter mon humiliation, les deux me traiteraient de bonnes chiennes, me caresseraient la tête et parleraient de moi comme une chienne.

Une autre idée est qu’il m’excite à mort avant de m’emmener au Moon et de choisir un homme qui aurait tous les droits sur moi.

Ou bien, non mais l’heure passe et déjà 45 minutes sont passées. J’ose un texto car l’inquiétude me gagne. Lui est-il arrivé quelque chose ? Va-t-il finalement annuler. Entre un peu de retard et 45 minutes, cela fait beaucoup même si c’est moi qui doit être à son service. Je vais finir par l’appeler au bout d’une heure.

Et malheureusement, il m’a écouté. Quand je suis Cookie à ses yeux, chose qui risque d’arriver très souvent, il compte bien être sévère. Il me rappelle qu’il m’a prévenu, que je ne dois pas le solliciter et que selon son humeur, je risque d’être punie. Il m’informe qu’il est en bas de chez moi.

Je mets mes chaussures, prends mon sac et descends le rejoindre. A mon approche, Maître se baisse, tape sur ses cuisses et m’appelle :

« Viens- là Cookie ».

Je suis surprise car je ne m’y attendais pas et prends mesure de ce que ce nom implique. Je ne suis plus humaine. Je suis rabaissée à l’état de chienne au sens animal du terme. Est-ce bien ce que je veux ?

Comme le dira Maître plus tard, j’en suis plus humide donc excitée mais cela veut-il dire que c’est bien ce que je souhaite vivre ? Etre dans un jeu de petplay avec Maître ?

J’avoue que le reste de la séance que je vais vous raconter va me laisser perplexe. Même si une chose est sûre, j’ai envie de revoir Maître rapidement soit la semaine prochaine.

Il me prend dans ses bras, m’embrasse. Je me laisse aller aux câlins dont j’ai tant besoin. Il ouvre la portière et m’y installe.

 » Tu ne vois rien sur le tableau de bord ?

Je le regarde et ne vois rien de bizarre. C’est un tableau de bord.

– Tu es sûre que tu ne vois rien ?

Je regarde de nouveau et m’aperçois qu’au-dessus du tableau de bord se trouve la cravache. Ce qui signifie que ce soir, je suis pleinement Cookie et doit me comporter ainsi comme aboyer à chaque fois qu’il dit ce nom. Instinctivement et inconsciemment, je le ferais également à chaque fois qu’il dira chienne bien que cela n’ait été aucunement édictée dans les règles.

– Sache que je vais remplacer la cravache par la laisse. Donc si tu vois la laisse, tu seras également Cookie

– Waouf. je réponds. »

Maître va à sa place de conducteur. il range la cravache à l’arrière. Il m’informe vouloir m’emmener dans le coin de forêt que nous avions découvert par hasard une fois précédente.

Nous essayons de retrouver le chemin et y arrivons avec succès. Ce qui ne l’empêche en rien de me parler de ses idées, de m’appeler Cookie ou chienne pour me faire aboyer. Nous arrivons toutefois à parler de nos vies. Comme si je refusais la situation et voulais détourner le sujet.

Bien que je sois consentante, ait été demandeuse de cette situation. Avec le recul, je me demande si je n’ai pas peur. Peur d’avoir voulu aller trop loin dans la soumission. Peur de ne pas arriver à vivre et à assumer mon statut de Cookie. Et pourtant, je suis contente car peut-être que ce sera la réalisation d’un fantasme tant désiré.

Une fois garé Maître ouvre sa portière. J’ai le mauvais réflexe d’ouvrir la mienne. A peine ouverte, je réalise mon erreur et la referme aussi sec. J’espère qu’il n’a rien vu étant donné qu’il me parle.

Il sort de la voiture et vient à ma hauteur. Une fois qu’il m’a sorti de la voiture, je le vois amusé par la situation. Il ferme la portière, dévoile mes seins et je commets une nouvelle erreur : J’oublie de ponctuer ma phrase par Maître :

« Tu ouvres la portière. Tu oublies Maître. Et apparemment, je ne te punis pas assez. Il faut que je le fasse plus souvent.

– Maître, cela ne sert à rien d’écouter les followers. »

Je ne sais plus ce qu’il a répondu mais sentant sur le fil du rasoir, je fais attention à mes propos. Quand je suis Cookie, il est sévère et je n’ai plus droit à une porte de sortie pour échapper à la punition.

Il me fait asseoir à l’arrière et vient me rejoindre :

« Nouvelle faute. Tu n’as pas mis ton collier. »

Il ressort, ouvre ma portière et m’ordonne de mettre mon collier et de me cambrer en m’appuyant sur la rambarde.

J’obéis mais à peine mis mon collier, il y accroche la laisse qui est toute en chaîne. Cela a de l’importante. Je ne peux vous dire quoi mais le fait d’avoir la laisse provoque un changement chez moi. Je ne peux pas vous dire lequel mais c’est différent. Comme si j’étais encore plus Cookie qu’avant.

Je vais à la rambarde et m’y appuie comme demandé. Il met la laisse de manière à ce qu’elle provoque aucune gêne :

« Tu connais les règles de la punition.

– Oui Maître

– Donne un chiffre entre 1 et 10. 

J’hésite. Je sais que si je donne un chiffre trop bas, il risque de doubler voire de tripler. Mais je ne souhaite pas en donner un trop haut car je me prépare à la douleur. Du coup, quel chiffre attend-il ?

– 6 Maître

– Très bon chiffre. 

Je me prépare mais j’ai beau le faire, j’ignore quand le premier coup va tomber. Ce qui sera le cas des suivants :

– 1 merci Maître.

Il joue avec la cravache

– 2 Merci Maître. »

Et ainsi jusqu’à 6. Certains coups seront ponctués par des « aïe »

Mais lui, ce qu’il retiendra est le fait que je suis trempée. Il me le dire plus tard mais il songe à d’autres types de punition vu que celles-ci m’excitent. Bien que je lui dise que cela fasse mal.

Il prend la laisse et m’emmène de nouveau à la voiture. A l’arrière, il sera assis et moi allongée sur lui. J’ai enlevé mes chaussures mais il a accès à tout mon corps.

Il le remarquera plus tard et jouera avec mais la laisse s’est mise entre mes lèvres. Et j’avoue que la sensation de froid me fait du bien et qu’en plus, j’ai envie de me frotter contre elle. Maître quand il s’en apercevra, jouera avec elle lui donnant d’autres idées.

A partir de là, je ne peux pas être fidèle à la réalité car d’une, j’ai lâche prise et vécu le moment. Et de deux, j’ignore exactement comment il procède.

Mais ce que je peux vous dire, c’est un ensemble de jeu avec ses mains qui me pénètrent ou jouent avec mon clitoris quand elles ne pincent pas mes seins ou jouent avec mon rosebud. Parfois même, il tire sur la laisse ou me prend par le cou pour me rappeler que je suis Cookie.

Il accentuera même les choses en m’appelant chienne ou Cookie m’obligeant à aboyer même quand je jouis.

Ce qui est à retenir, c’est que quoiqu’il me fasse, je dois remuer pour avoir mon plaisir. Mais à chaque fois que je grimpe d’un niveau Maître s’arrête, me frustre et me met en état de supplique.

Il adore car dès qu’il recommence, je grimpe plus vite. De plus, il me signifiera que mon plaisir est d’autant plus accentué quand il m’appelle Cookie ou chienne.

Selon lui, c’est dommage que je n’assume pas complètement et il est vrai que lorsqu’il appuie sur mon clitoris, comment dire, je n’arrive pas à supporter. Bien que je sache que je ne peux pas dire non ou bouger, je vais lutter parce que je ne peux pas.

Tandis que lui veut que je dépasse, que je suis capable et essaie de me motiver en disant :

« Vas-y Cookie. Lâche-toi. Ne retiens pas. Ne gère pas. »

J’essaie mais c’est bien difficile. Car je ne cherche pas à gérer ou à contrôler mais c’est plus fort que moi quand c’est puissant, enfin trop, je souhaite arrêter. Je sais que je pourrais dire le mot de sécurité mais ce n’est pas mon envie.

J’ai l’impression qu’il est un peu déçu que je n’y sois pas arrivé mais content que j’ai essayé. Il aimerait plus mais je me demande si je peux y arriver.

Lors d’une jouissance ultime et ayant un peu mal au dos, je me redresse. Maître continue alors de pincer mes tétons ou de se les emparer mais aussi « Aïe », ils sont trop sensibles.

Et ce, avant qu’il me dise :

« Sur mes genoux. »

Je m’y installe et j’ai droit au Paddle, a des fessées avec ses mains et même à la roulette avec des picos qui malgré que j’aimerais que ce ne soit pas le cas, me fait jouir.

Maître se permet même de me mordre et c’est presque insoutenable. Je tape le siège arrière car c’est le seul moyen que je trouve pour bouger sans désobéir quand je me retiens de ne pas prendre mon bras pour retenir mes hurlements. Mais je sais que si je le fais, c’est une punition garantie. Comment faire pour accepter ces sensations alors que c’est trop puissant. Et ce, jusqu’à l’extase et que Maître s’arrête.

Il regarde l’heure et me dit : « Un dernier jeu. »

Je ne savais pas que l’on jouait. Même si c’est vrai que je dis souvent que nous jouons, pour moi, tout cela est sérieux.

Nous sortons de la voiture :

« A poil Cookie. »

J’obéis et j’avoue que j’apprécie. Entre la chaleur de dehors et ce que je viens de vivre, sentir le petit vent frais me fait du bien.

Je ne me pose pas de questions même si être nue en laisse alors que Maître est totalement habillé est loin d’être normal.

Il me demande :

« Alors tu te sens comment ?

– Cela va mais parce que nous sommes tout seuls. S’il y avait des spectateurs, je serais gênée. 

Il m’emmène à la rambarde et choisis de faire des photos à ce moment après m’avoir donné des fessées.

Cliquer ici pour consulter la 1ère photo

– Je t’interdis de lâcher la rambarde. »

Je crains le pire. Il joue avec mon corps et c’est vrai que les sensations qu’il me donne sont insoutenables et en temps normal, j’aurais lâche la rambarde. Je dois l’avouer, j’ai dû la lâcher une fois pendant 1 seconde. Maître ne le verra pas et c’est tant mieux pour moi.

Je n’arrive pas à couler. Maître se doute que c’est à cause de tout ce qu’il s’est passé. Je le supplie également d’arrêter. C’est trop puissant, cela m’envahit trop fort. Je ne peux pas le supporter. Ne pouvant bouger, je ne peux que supplier.

Comme à son habitude, il continue quelques secondes pour me pousser à bout avant de s’arrêter.

Il m’emmène à la voiture, retire la laisse et me permet de me rhabiller.

Et ce, avant de ma ramener chez moi où il est vrai que j’ai le sourire aux lèvres et écoute à moitié ce que dit Maître. Quand, pour me dire au revoir, il me prend dans ses bras, j’ai envie de l’inviter à monter pour m’endormir dans ses bras tellement je suis bien et envie que cela dure.

Mais cela est impossible alors je le laisse partir et je dois bien l’avouer, je me suis laissé emporter au pays des rêves. C’est le lendemain que je repense à la séance qui me met dans un état d’excitation m’obligeant à m’emparer du Wand pour me soulager.

J’ai failli envoyer un message à maître pour lui parler de mon état et lui demander l’autorisation. Bien que je sache qu’il se lève tôt, je risque d’attendre et j’ai prévu d’autres choses. Alors je prends l’initiative en espérant que quand il lira ce récit, il ne m’en voudra pas.

Les règles ne sont pas claires à ce sujet si ce n’est qu’il va m’acheter un jouet commandable à distance que je devrais avoir sur moi H24 afin de le mettre en moi dès qu’il le voudra.

Maintenant, je n’ai qu’une envie, le supplier de le voir semaine prochaine bien que cela risque d’être compliqué. Mais qui ne tente rien n’a rien.

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4 commentaire

  1. Elle est super cette petite Cookie !
    Et pourquoi vous posez-vous autant de questions pour une chose qui vous donne tant de plaisir ?

    1. Et c’est maintenant que je me pose une question.
      Est-ce la réalité ou encore un fantasme que ce récit ?

      1. La réponse est sur la homepage : https://lilisoumise.fr

    2. Alors quand allez-vous vous affranchir de cette éducation qui ne semble pas vous avoir apporté toute la satisfaction que vous attendiez de la vie ?
      Je sais, je suis mal placé parce que moi j’ai attendu la soixantaine.
      Est-ce une raison suffisante, puisque vous en avez conscience, d’attendre plus longtemps ?
      Moi je vous encourage à aller voir plus loin, l’herbe n’y est pas plus verte, mais elle est plus fraîche !
      Encore un tout petit effort, vous y êtes presque.

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