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J’ai reçu les ordres pour ce soir : une minijupe (qui m’arrive ras des fesses), un haut noir avec un grand décolleté, pas de sous vêtements. Mon collier de chienne et la laisse dans mon sac.

A ce moment, je ne connais pas le programme ; Les 2 sont possibles le Moon ou la promenade. Avec le jour et la chaleur, Maître a déjà renoncé du fait que les familles sortent le soir pour se rafraîchir.

Maitre me bipe et je descends. Il me prend dans ses bras et je me prends une remarque, car je ne suis pas tenue de le mettre en ce lieu. Mais je voulais le faire pour assumer et je sais que hormis les enfants jouant dehors, il y a peu d’adulte. Maître m’ouvre la voiture et en route pour le Moon avec nos conversations habituelles : nos vies, notre travail, les réseaux sociaux…

Le chemin me semble rapide et je suis étonnée qu’une heure se soit déroulée, mais avec les bouchons, pas très étonnant. Je sors de la voiture et nous voilà partis pour le Moon, je croise le regard de quelques personnes qui me donnent l’impression d’être bizarre. J’en fais part à Maître qui me dit qu’ils sont juste étonnés.

Nous entrons au Moon, direction les vestiaires. Je n’hésite plus vraiment à dire Maître même en public même si ce n’est pas encore naturel pour moi. Mais voilà Cookie arrive bientôt et me voilà en train d’aboyer, mais plus discrètement que je dis Maître.

Ce dernier me demande de lui retirer chaussettes et chaussures avant que je doive embrasser ses pieds. J’ai toujours peur du jugement et donc que l’on me voie. Mais dans le même temps, j’ai confiance en Maître et je sais qu’il voudrait que je le fasse un jour devant des spectateurs, voire même embrasser les pieds d’un parfait inconnu.

Après une passe rapide au bar, direction le jacuzzi. Les bulles, les bras de mon maître, mon corps à sa disposition, ne peut résulter que détente et plaisir. Je regarde de temps à autre les autres. Beaucoup de couples, mais aussi beaucoup d’hommes, mais personne ne m’attire véritablement. Peu importe, je suis ravie du plaisir donné par Maître, mais il s’arrête toujours au mauvais moment pour mieux me frustrer. Une nouvelle règle arrive : j’ai le droit de bouger pour mieux apprécier et jouer avec les caresses de Maître, mais quand il s’arrête, je ne dois pas bouger. Que je déteste la frustration. Lui s’en amuse et en profite. Que faire ?

Rien si ce n’est que de subir la frustration et apprécier le plaisir lorsqu’il me l’accorde. Après avoir titillé les seins, joué avec ma chatte, mon anus et mon cou, nous montons à l’étage.

Vu que c’est l’heure du repas, nous avons tous les coins câlins pour nous. Vu que le risque est mineur, c’est le coin public que choisit Maître, et ce, pour me faire son fameux cunnilingus. Un homme restera de bout en bout tandis que d’autres défileront.

Je n’ose pas les regarder alors je me tourne vers le miroir et les rares moments où j’ose ouvrir les yeux, je les regarde. J’essaie de lâcher prise comme la dernière fois, mais ce sera en vain. Ce qui ne gênera en rien à mes gémissements, voire mes hurlements dus aux coups de langues, effleurement de ses dents, la succion et les caresses avec ses mains.

J’adore ce qu’il me fait, mais je me passerais bien de certaines de ses pratiques comme ses dents qui effleurent ma peau. C’est dur de subir et de ne pas bouger. Mais une part plaisante. Je subis ses assauts sous le regard d’un spectateur.

Après de nombreuses jouissances, nous finissons par descendre pou grignoter un morceau. J’ignore si c’est la fatigue, le fait que nous ne soyons pas en face l’un de l’autre, mais nous mangeons en silence. En soi, ce n’est pas un problème, mais bizarre, car en général, nous trouvons toujours un sujet. Il faudra attendre la fin de nos assiettes pour que nous reprenions la discussion.

Bien évidemment, il ne faut guère de temps avant de retourner au jacuzzi et de recommencer notre petit jeu. J’ai bien envie d’avoir une expérience avec une femme tout comme Maître, mais quand les gens sont en couple, c’est compliqué surtout que nombre d’entre eux sont fermés ou alors en groupe fermé. Les hommes seuls sont en quête et cela se sent ce qui me fait fuir et ne me donne pas envie d’avoir un autre partenaire que Maître.

Peu importe, Maître joue avec mon plaisir en me frustrant tout simplement en caressant mon clitoris ou en me pénétrant avec ses doigts aussi bien ma chatte que mon anus, en titillant mes seins. Le plaisir monte tellement et je suis tellement frustrée que je finis par me caresser quelques secondes. J’ignore si j’en ai vraiment le droit ou si Maître apprécie, mais je ne peux pas résister.

Je suis pourtant loin d’être rassasiée. Je réclame le genou de mon Maître. Ce dernier accepte. En plein jacuzzi, je me frotte contre son genou. Maître a le sourire, il adore que je me rabaisse ainsi. Je me laisse aller à l’orgasme. Mais contrairement à d’habitude, j’en veux plus.

Je demande à ce que l’on remonte. Ma requête est acceptée. Mais à mon grand désespoir hormis le coin public ou les coins ouverts tous sont pris. Pas étonnant, car les hommes seuls font fuir véritablement. On dirait qu’ils sont presque prêt à tout pour avoir une femme. La suite me donnera raison.

Après un autre tour, un coin qui se ferme est libre. Ce n’est pas notre préféré, mais nous nous en contenterons. Et pendant cette première partie, je me sentirais cookie. Tout simplement parce qu’il m’ordonne de me mettre en levrette pour me faire un anulingus et jouer avec ma chatte avec tout ce dont il dispose. Il fera même rougir mes fesses. Comment ne pas se sentir chienne dans ces moments-là. Il manque juste un détail. C’est que ce serait meilleur si Maître était habillé. Mais c’est déjà pas mal comme humiliation. Je suis à sa disposition, je suis animale et je subis ses caresses quelles qu’elles soient.

D’ailleurs mes gémissements le feront savoir. Mais voilà, je commence à fatiguer d’être dans cette position. Heureusement, Maître me demande de m’allonger sur le dos lui permettant de taper ma chatte comme jouer avec.

C’est dans ce moment que je lui avoue qu’il peut me prêter. Mais quand il me demande si on ouvre la porte, j’hésite. Certes quand on l’a fait, je n’ai jamais été déçue. Sauf que ce soir, je n’ai pas un bon instinct envers ces messieurs.

La porte restera fermée et c’est ainsi que Maître me rassasiera en étant toute à sa disposition, à accepter ses envies, ses caresses quelles qu’elles soient.

Ces jouissances me font tellement du bien. J’aimerais tant obtenir cette même endorphine par d’autres manières, mais je n’en connais pas.

Nous finissons par descendre. Maître s’allonge à demi sur un canapé et je m’allonge sur lui. J’ai un grand sourire, je suis détendue et c’est à tel point que je pourrais même m’endormir. D’autant que comme tout à l’heure, nous ne disons rien. Après coup, je pense que c’est parce que nous sommes tous deux très fatigués.

Je finis par me relever pour éviter de dormir ce qui va le réveiller également et nous décidons d’un commun accord d’aller à la douche avant de partir. J’avance sans lui et un homme me dit

 » Attention à la marche.

Bien que je sache qu’il n’y en a pas, je regarde.

– C’est une blague ? Où allez-vous ?

Un deuxième s’approche :

– Bonsoir

– Bonsoir, j’attends. Et là me vient le mot Maître, mais je sens que je ne peux pas le dire alors il me faudra quelques secondes pour trouver les mots. J’attends Monsieur. »

Ils ont compris qu’ils n’auront rien de moi. J’ai horreur de me sentir comme une proie.

Nous nous rafraîchissons avant d’aller au vestiaire. Maître me ramène chez moi et je ressens le besoin de tendresse. C’est rare, mais cela me crève le cœur de le laisser partir, j’aurais voulu qu’il passe la nuit avec moi. Mais impossible de mon côté comme du sien. J’espère bientôt.

Je rentre seule, je me couche détendue et je pars dans le monde où tous les fantasmes sont possibles sans aucun danger.

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4 commentaire

  1. Encore une belle soirée comme on aime vous voir les raconter.
    On sent un véritable plaisir chez vous à vivre ces moments comme à en faire le récit.
    Tout est authentique dans ce que vous donnez à partager.
    On se sent un peu intime de vos ébats et on pourrait presque en faire partie.
    Un grand merci à vous.

    1. Merci poir votre retour

  2. Bonjour, comme toujours vos récits sont terriblement excitants. Continuez à nous régaler de vos publications ❤️❤️❤️. Au plaisir de vous lire 🥰🥰🥰

    1. Merci à vous de me lire

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