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Nous redescendons au bar nous détendre, mais surtout nous rafraîchir, mais voilà, comme d’habitude mes pensées reviennent. Avec l’accord de Maître, je rebois un deuxième verre d’alcool.

Ce dernier va me permettre de finir de me détendre. Nous discutons de ce qui vient de se passer et je me demande si le mec a vraiment pris son pied. D’après Maître, oui.

Et me vient une idée qui s’avèrera très mauvaise. Je prends un glaçon et le pose en haut de mon décolleté par curiosité. Je n’ai pas réalisé combien c’était froid.

Maître le voit et me le prend des mains. Sauf que lui le pose sur mon téton ouvert à tout le monde d’ailleurs. Je crise. C’est beaucoup trop froid. Et je n’ose imaginer lorsqu’il me dit que ce serait bien de le mettre sur mon clitoris. Oh non !

Lorsqu’il commence à couler, je demande à Maître d’arrêter. il l’enlève. Nous finirons par retourner au jacuzzi. Il ne faudra guère de temps pour trouver un jet qui se positionne sur mes lèvres intimes. Maître joue avec mes seins ou me prend par le cou tout en me laissant jouer avec le jet d’eau. Tout ce temps-là, j’ai les yeux fermés et lors d’une jouissance, lorsque je les ouvre, je suis étonnée du changement qu’il y a eu autour de nous. Mais finalement, je m’en fiche, je suis dans ma bulle et c’est très bien ainsi. Maître rejoue encore avec mon corps avant qu’il ne décide de retourner dans un coin câlin.

Je ne suis pas contre de retourner dans un coin ouvert, mais je ne discute pas lorsqu’il décide d’aller dans un coin fermé. Car dans le même temps, le match de football est terminé et il est vrai que nous risquons d’être embêté par des indésirables plus que par ceux qui savent se comporter et être respectueux.

Maître me fait allonger sur le dos. Et revoilà le fameux cunnilingus. Celui que j’adore comme celui que je déteste. Quand il y a ses doigts ou sa langue qui y vont doucement, je kiffe. Mais dès qu’il me mord, m’aspire ou joue avec ses dents, c’est une autre histoire. Je me mets dans ces moments-là à hurler littéralement avec le réflexe de fuir, mais je me retiens puisque je n’en ai pas le droit. Sans compter lorsqu’il s’arrête alors que ma jouissance va s’exprimer et qu’il prend ou alors quand il se saisit de mes poignets, je sais que cela va être puissant.
Alors, je résume cela en quelques lignes, mais en réalité, cela dure bien quelques dizaines de minutes ou mes jouissances sont plus ou moins fortes.

Maître adore jouer avec moi et je le sens insatiable. Bien souvent et celle-ci ne fais pas exception, je vais au bout de mes jouissances et j’ai bien envie d’arrêter, mais Maître continue. C’est alors que je le supplie d’arrêter, de se calmer. Ce qui vaut une ou deux dernières jouissances avant qu’il me laisse me reposer.

Et c’est ce moment-là qu’il choisit la zone la plus sensible aux chatouilles : mon pied. Au début, c’est une sorte de jouissance qui arrive avant que le rire ne vienne. Au bout d’un moment, je fuis tellement je n’en peux plus mais Maître persiste. Alors je finis par le supplier, car je ne tiens plus.

Il souffle sur mon intimité et est ravi de voir la sensibilité dans laquelle je suis.

Finalement, il m’autorise à aller dans ses bras pour un moment câlin. Et bien que cela fasse du bien Maître ne met pas longtemps avant que sa main caresse mes fesses et commence à jouer.

J’ignore comment, mais je me retrouve bien vite sur le ventre. Mais là où est la perversion de Maître, c’est qu’il m’oblige à m’humilier. Comment ?

Soit, il glisse ses doigts dans mon intimité et c’est à moi de bouger pour avoir mon plaisir quand ils ne sont pas à l’entrée de mon anus et c’est à moi de remuer pour qu’ils me pénètrent profondément pour avoir ma jouissance. Et ce, bien entendu quand ils ne me pénètrent pas les deux trous simultanément.

En résumé, si je veux ma jouissance, je dois me rabaisser pour l’obtenir sans quoi, je n’ai rien et Maître ne fera rien. Il me rappelle dans ces moments-là ma place, celle qui me revient, je lui appartiens et c’est lui qui décide et qui contrôle. Mais à contrario, c’est ce qui augmente ma jouissance et j’adore qu’il me rabaisse, j’adore chercher mon plaisir et j’adore lui appartenir.

Je suis contente d’avoir un Maître comme lui et contrairement à ce que beaucoup souhaiterait, je ne compte pas en changer de sitôt.

Maître joue avec mon corps, mon humiliation et est ravi d’en rajouter en me faisant imaginer des scènes humiliantes comme le fait de vouloir me sodomiser en position humiliante avec collier et laisse. Ou qu’il me fasse me rabaisser comme il le fait actuellement, mais devant des spectateurs aguerris.

Bref, je prends jouissance sur jouissance et mon intimité est bien sensible. Mon anus est bien ouvert.

Lorsque nous finirons par arrêter, nous sommes fatigués. Ce n’est pas étonnant au vu de l’heure. Nous prenons un dernier rafraîchissement avant de rentrer chez moi. Mais bien évidemment, nous ne serons pas sages…

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